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Mon refrain moteur !
Posté par chevalier dupin,
26 décembre 2008
·
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mon fourre-tout fou
D'un petit air et d'une grande chanson,
Je suis le drôle de fils,
Etant des notes, le frère de son.
Avec elles, de belle portée,
Je naquis par leurs mouvements transporté.
Jusque dans l'ode du bain,
Fredonnant mon babil de jeune fol,
Je fus enfant do, enfant fa, enfant sol.
Chaque fugueur matin,
Par ma musique, j'adoucissais les nurses,
Tel un oiseau léger de moeurs.
Par ma bouche, j'attendrissais,
Le bout de leurs symphonies,
Y marmonnant mélodieuse comédie,
Leur donnant le la,
Attendant-là,
Que valse devienne lait ;
Pour que de concert, je me nourisse.
Puis amoureusement, sans l'ut, poussé dans le dos,
J'enchaînais un ré à l'anicroche d'un rot.
Inscrit au baroque de Paris,
D'orchestre, je suis avocat en chef aujourd'hui,
Mais je n'oublie de l'enfance ni moult allégresses,
Ni dorées partitions.
De ces premières compositions,
Encore et toujours, je me berce !
Je suis le drôle de fils,
Etant des notes, le frère de son.
Avec elles, de belle portée,
Je naquis par leurs mouvements transporté.
Jusque dans l'ode du bain,
Fredonnant mon babil de jeune fol,
Je fus enfant do, enfant fa, enfant sol.
Chaque fugueur matin,
Par ma musique, j'adoucissais les nurses,
Tel un oiseau léger de moeurs.
Par ma bouche, j'attendrissais,
Le bout de leurs symphonies,
Y marmonnant mélodieuse comédie,
Leur donnant le la,
Attendant-là,
Que valse devienne lait ;
Pour que de concert, je me nourisse.
Puis amoureusement, sans l'ut, poussé dans le dos,
J'enchaînais un ré à l'anicroche d'un rot.
Inscrit au baroque de Paris,
D'orchestre, je suis avocat en chef aujourd'hui,
Mais je n'oublie de l'enfance ni moult allégresses,
Ni dorées partitions.
De ces premières compositions,
Encore et toujours, je me berce !
