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Spirituelle éducation physique !
Posté par chevalier dupin,
04 février 2009
·
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mon fourre-tout fou
Bien que je ne croie pas en Jésus,
Ni aux soucoupes volantes,
Encore moins au neigeux Yéti,
Cette nuit en rêve, un monstre poilu,
De son ovni, tenant la main courante,
Me cria : "je t'écoute, je suis le Messie !"
Ne sachant depuis, adopter quelle attitude,
Aujourd'hui, j'essaye donc la béatitude.
Sculpté, vierge de marbre hier,
Me voilà tel un arbre à prières,
Un poirier aux racines occultes,
Renversé dans un étrange culte !
M'accroupissant, les fesses sur les talons,
Avant que l'estomac ne s'y mette,
J'entame cagneuse, une génuflexion.
Hélas, je ne trouve quoi faire de mes orteils,
Martyrs dans le plus simple appareil,
Comme bien sûr, leurs pieds si bêtes !
A la raison, ramenant mes épaules,
Comprimant mon torse, mes biceps s'y collent.
En l'absence de coudées franches,
Je joins mes extrémités digitales.
Je les serre, ma foi, à les rendre pâles ;
Ensuite c'est une autre paire de manches !
De moi le "sympa", tronc tente d'être digne,
Ose l'empathie pour celui de l'église,
Ainsi se dresse cathédrale en chemise.
Alors ma tête n'attendant que ce signe,
Dévoile entière sa pomme d'Adam,
Renvoyant toute nuque au néant !
Au ciel, mon menton en galoche,
Se tend pour en devenir proche,
Mon regard en orbite au dessus des lunettes,
Laisse en plan, le blanc de ses mirettes,
Enfin entonnant un air primesautier,
Se tirent les souvenirs de mon psautier !
" Je vous salue E.T. plein de classe,
Notre perle qui êtes au mieux,
Par pitié, que ma taille ne soit plus grasse,
Que mon amour perde ses poignées, c'est mon voeu,
Car j'ai trop mangé, j'ai trop bu,
J'ai la peau du ventre trop tendue !"
Soudain une voix extra, venue d'outre-monde,
Me porte aux nues, le temps que je me dégonde,
Puis me clame :" en vérité cher excentrique,
Si c'était pour ça, ta gymnastique,
Je te le dis certain que je ne me trompe :
Stoppe ta transe et plutôt commence les pompes !"
Ni aux soucoupes volantes,
Encore moins au neigeux Yéti,
Cette nuit en rêve, un monstre poilu,
De son ovni, tenant la main courante,
Me cria : "je t'écoute, je suis le Messie !"
Ne sachant depuis, adopter quelle attitude,
Aujourd'hui, j'essaye donc la béatitude.
Sculpté, vierge de marbre hier,
Me voilà tel un arbre à prières,
Un poirier aux racines occultes,
Renversé dans un étrange culte !
M'accroupissant, les fesses sur les talons,
Avant que l'estomac ne s'y mette,
J'entame cagneuse, une génuflexion.
Hélas, je ne trouve quoi faire de mes orteils,
Martyrs dans le plus simple appareil,
Comme bien sûr, leurs pieds si bêtes !
A la raison, ramenant mes épaules,
Comprimant mon torse, mes biceps s'y collent.
En l'absence de coudées franches,
Je joins mes extrémités digitales.
Je les serre, ma foi, à les rendre pâles ;
Ensuite c'est une autre paire de manches !
De moi le "sympa", tronc tente d'être digne,
Ose l'empathie pour celui de l'église,
Ainsi se dresse cathédrale en chemise.
Alors ma tête n'attendant que ce signe,
Dévoile entière sa pomme d'Adam,
Renvoyant toute nuque au néant !
Au ciel, mon menton en galoche,
Se tend pour en devenir proche,
Mon regard en orbite au dessus des lunettes,
Laisse en plan, le blanc de ses mirettes,
Enfin entonnant un air primesautier,
Se tirent les souvenirs de mon psautier !
" Je vous salue E.T. plein de classe,
Notre perle qui êtes au mieux,
Par pitié, que ma taille ne soit plus grasse,
Que mon amour perde ses poignées, c'est mon voeu,
Car j'ai trop mangé, j'ai trop bu,
J'ai la peau du ventre trop tendue !"
Soudain une voix extra, venue d'outre-monde,
Me porte aux nues, le temps que je me dégonde,
Puis me clame :" en vérité cher excentrique,
Si c'était pour ça, ta gymnastique,
Je te le dis certain que je ne me trompe :
Stoppe ta transe et plutôt commence les pompes !"
