
Mes meilleurs aveux !
Posté par chevalier dupin,
10 février 2009
·
354 visite(s)
mon fourre-tout fou
Pris dans l'aspiration d'une course céleste,
Près de la frontière des ans,
Mes fardeaux de douleurs, se soulèvent aux vents,
Des viles lourdeurs se délestent !
Tourmenté par les méandres de l'existence,
Un fleuve pur et réconciliateur m'emporte,
Recueille dans l'eau, mes voeux en pétales roses.
Des rêves florissants de chance,
Sur ses rives, bien me déposent
Y étrennent mon repos, d'une fievre accorte.
Trouvée au pied d'une pyramide de vert,
Symbolique famille où modèle naquit,
Ôte mes princesses envies,
Des tours de l'ombre qui les rendait prisonnières.
Puis lorsque les résolutions de ma planète,
Alors s'unissent à mes révolutions de tête,
A la volée de mon coeur, s'ouvrent des fenêtres.
Dans l'église de l'hiver, la chaleur d'un prêtre,
Doucement sermonne les vilénies d'hier,
De demain avec joie, entonne les prières.
Au blanc zénith du cadran noir d'ultime nuit,
Au bout du compte à rebours, le jour neuf s'enfuit ;
Petits riens en boulets, grandes choses en secousses,
Propulsant par sa voie de bouillants artifices.
A mes parents, la promesse d'un meilleurs fils,
A mes enfants celle de parentée complice,
Joignent une chorale vibrante de délices,
Louant la santé, chantant le bonheur pour tous !
Près de la frontière des ans,
Mes fardeaux de douleurs, se soulèvent aux vents,
Des viles lourdeurs se délestent !
Tourmenté par les méandres de l'existence,
Un fleuve pur et réconciliateur m'emporte,
Recueille dans l'eau, mes voeux en pétales roses.
Des rêves florissants de chance,
Sur ses rives, bien me déposent
Y étrennent mon repos, d'une fievre accorte.
Trouvée au pied d'une pyramide de vert,
Symbolique famille où modèle naquit,
Ôte mes princesses envies,
Des tours de l'ombre qui les rendait prisonnières.
Puis lorsque les résolutions de ma planète,
Alors s'unissent à mes révolutions de tête,
A la volée de mon coeur, s'ouvrent des fenêtres.
Dans l'église de l'hiver, la chaleur d'un prêtre,
Doucement sermonne les vilénies d'hier,
De demain avec joie, entonne les prières.
Au blanc zénith du cadran noir d'ultime nuit,
Au bout du compte à rebours, le jour neuf s'enfuit ;
Petits riens en boulets, grandes choses en secousses,
Propulsant par sa voie de bouillants artifices.
A mes parents, la promesse d'un meilleurs fils,
A mes enfants celle de parentée complice,
Joignent une chorale vibrante de délices,
Louant la santé, chantant le bonheur pour tous !