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Jeu macho renversant, chômage en verlan !
Posté par chevalier dupin,
14 février 2009
·
1 028 visite(s)
mon fourre-tout fou
" Ô femme que j'aime
Près de moi, conserver
Laisse deux secondes ton balai
Pour écouter ce poème :
Que tu as un joli nez
Quand tu prépares à dîner.
Que tu es agréable
Quand tu mets la table.
Encore quelle grâce
Quand tu la débarrasses.
Mieux tu étincelles
Quand tu fais la vaisselle.
Je m'extasie de ton habileté
A servir le thé.
Quand tu me portes mes pantoufles
Vraiment tu m'époustoufles.
Ah! J'oubliais : Tu es si jolie
Quand tu chauffes mon lit!
Alors que tu t'en doutes, je ne peux plaire
Tandis que je mets le couvert.
Ou tu sais bien sûr, que j'ai le coeur à l'envers
Lorque je le dessers.
Dans l'absolu, me trouver adroit à la plonge
Serait un pieux mensonge.
Il est d'autre part de notoriété domestique, que J'ai mauvaise mine
Affairé à la cuisine.
Je suis de plus, dans l'incapacité totale
De moudre le café, autrement que mal.
Inutile de te dire, que je frise la dépression,
A la recherche de mes chaussons.
Et je n'omets la grimace qui déforme ma bouche,
Si j'essaye d'arranger ma couche ! "
" Ô mon chéri, entends cette poésie :
J'adore quand tu me ménages ainsi
Mais tant va la cruche à ton audace
Qu'à la fin je me casse ! "
Près de moi, conserver
Laisse deux secondes ton balai
Pour écouter ce poème :
Que tu as un joli nez
Quand tu prépares à dîner.
Que tu es agréable
Quand tu mets la table.
Encore quelle grâce
Quand tu la débarrasses.
Mieux tu étincelles
Quand tu fais la vaisselle.
Je m'extasie de ton habileté
A servir le thé.
Quand tu me portes mes pantoufles
Vraiment tu m'époustoufles.
Ah! J'oubliais : Tu es si jolie
Quand tu chauffes mon lit!
Alors que tu t'en doutes, je ne peux plaire
Tandis que je mets le couvert.
Ou tu sais bien sûr, que j'ai le coeur à l'envers
Lorque je le dessers.
Dans l'absolu, me trouver adroit à la plonge
Serait un pieux mensonge.
Il est d'autre part de notoriété domestique, que J'ai mauvaise mine
Affairé à la cuisine.
Je suis de plus, dans l'incapacité totale
De moudre le café, autrement que mal.
Inutile de te dire, que je frise la dépression,
A la recherche de mes chaussons.
Et je n'omets la grimace qui déforme ma bouche,
Si j'essaye d'arranger ma couche ! "
" Ô mon chéri, entends cette poésie :
J'adore quand tu me ménages ainsi
Mais tant va la cruche à ton audace
Qu'à la fin je me casse ! "
