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A vos yeux me plaise !
Posté par chevalier dupin,
20 février 2009
·
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mon fourre-tout fou
Du belvédère de mes délires,
Aux bouts de ma langue vulpine,
Si bien pendule en cette heure,
J'aimerais tant voir vos délices,
Dans vos regards qui boivent mon calice
Jusqu'à la littérature de mes humeurs !
Que ne pleurez-vous âmes-lyres,
A mes tournures qui sonnent mâtines,
Jusqu'à embrasser vos vêpres,
Lorsque j'ânonne vers accomplis,
Par l'écrit de ma plume rodée à l'arrondi,
Pour vos lèvres élastiques, mes faux rouges à lèpre !
Soulagé du buis des fardeaux moqueurs,
Je prends la mouche à merveilles,
Je bourdonne volontiers mon coeur,
Puis d'un dard fou, je pique un doux fard,
Quand pleins d'attentions, sans que tension s'égare,
Melliflus à dessein, vous me prêtez l'abeille !
Alors comme chien aboie Tu malhonnête,
Chattemite cajoleur, je miaule le Vous,
Pour que vous me lisiez parmi les vôtres,
Qu'en poli sage ou bon apôtre,
Vous me caressiez poète,
Dans le sens des voiles hissées à mon bateau soûl !
Aux bouts de ma langue vulpine,
Si bien pendule en cette heure,
J'aimerais tant voir vos délices,
Dans vos regards qui boivent mon calice
Jusqu'à la littérature de mes humeurs !
Que ne pleurez-vous âmes-lyres,
A mes tournures qui sonnent mâtines,
Jusqu'à embrasser vos vêpres,
Lorsque j'ânonne vers accomplis,
Par l'écrit de ma plume rodée à l'arrondi,
Pour vos lèvres élastiques, mes faux rouges à lèpre !
Soulagé du buis des fardeaux moqueurs,
Je prends la mouche à merveilles,
Je bourdonne volontiers mon coeur,
Puis d'un dard fou, je pique un doux fard,
Quand pleins d'attentions, sans que tension s'égare,
Melliflus à dessein, vous me prêtez l'abeille !
Alors comme chien aboie Tu malhonnête,
Chattemite cajoleur, je miaule le Vous,
Pour que vous me lisiez parmi les vôtres,
Qu'en poli sage ou bon apôtre,
Vous me caressiez poète,
Dans le sens des voiles hissées à mon bateau soûl !
