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Au lendemain de mes repoussoirs d'hiver
Posté par chevalier dupin,
27 février 2009
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mon fourre-tout fou
Délivré de l'hiver, de son gel carnivore,
A sa floraison que neuve saison n'ignore,
Hanté d'inconnues et de mystère, mon coeur,
Mieux que le lierre, s'accroche au treillis de l'heur !
Retrouvé l'organe de ma passion frivole,
S'ébattant à la chance, en veine il batifole,
De ses vibrantes fibres à sa voie florissante,
N'en finit-il avec ses flirts de dilettante !
S'émouvant des penchants de Reine Marguerite,
Croît-il de toute la force dont il palpite,
Puis se monte un bateau à faveurs d'Aubépine,
Chenapan à sa roue, emballant la machine !
Abattant à tout rompre, puisqu'aimer il ose,
Encor bleu, ce n'est la peur qui le cyanose,
Sans épineux rempart, prêt à s'épanouir,
En principauté Rose, il va se recueillir !
A sa floraison que neuve saison n'ignore,
Hanté d'inconnues et de mystère, mon coeur,
Mieux que le lierre, s'accroche au treillis de l'heur !
Retrouvé l'organe de ma passion frivole,
S'ébattant à la chance, en veine il batifole,
De ses vibrantes fibres à sa voie florissante,
N'en finit-il avec ses flirts de dilettante !
S'émouvant des penchants de Reine Marguerite,
Croît-il de toute la force dont il palpite,
Puis se monte un bateau à faveurs d'Aubépine,
Chenapan à sa roue, emballant la machine !
Abattant à tout rompre, puisqu'aimer il ose,
Encor bleu, ce n'est la peur qui le cyanose,
Sans épineux rempart, prêt à s'épanouir,
En principauté Rose, il va se recueillir !
