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L'hymne à la mort (parodie sur l'air de l'hyme à l'amour d'Edith Piaf)
Posté par chevalier dupin,
04 mars 2009
·
471 visite(s)
mes sherlockonneries
Le ciel gris sur nous peut s'effondrer,
Et la Tamise dessous s'écouler,
Peu m'importe tes théorèmes,
Moi je règne sur Londres entier.
Tant que l'argent grossira mon butin,
Tant que mon sort me gardera si malin,
Peu m'importent tes stratagèmes,
Les entourloupes que tu sèmes.
J'irais jusqu'au bout du monde,
Tu te ferais teindre en blonde,
Quand suiveur te déguiserais.
Je décrocherais l'astéroïde,
Je louerais une maison vide,
Si ma vie en dépendait.
Je fuierais notre patrie,
Je n'aurais d'autre ennemi,
Si trop tu te défendais.
Rien ne serait pire que moi,
Je ferais n'importe quoi,
Si tu me le défendais.
Si un jour, la vie s'arrache à moi,
Si je meurs, alors sois loin de moi,
Peu m'importe si je saigne,
Car toi tu mourras aussi.
Nous aurons pour nous l'éternité,
Sous les feux de la postérité,
La querelle sera ultième,
Le jour du dernier problème !
Dieu que John en sera blème !
Et la Tamise dessous s'écouler,
Peu m'importe tes théorèmes,
Moi je règne sur Londres entier.
Tant que l'argent grossira mon butin,
Tant que mon sort me gardera si malin,
Peu m'importent tes stratagèmes,
Les entourloupes que tu sèmes.
J'irais jusqu'au bout du monde,
Tu te ferais teindre en blonde,
Quand suiveur te déguiserais.
Je décrocherais l'astéroïde,
Je louerais une maison vide,
Si ma vie en dépendait.
Je fuierais notre patrie,
Je n'aurais d'autre ennemi,
Si trop tu te défendais.
Rien ne serait pire que moi,
Je ferais n'importe quoi,
Si tu me le défendais.
Si un jour, la vie s'arrache à moi,
Si je meurs, alors sois loin de moi,
Peu m'importe si je saigne,
Car toi tu mourras aussi.
Nous aurons pour nous l'éternité,
Sous les feux de la postérité,
La querelle sera ultième,
Le jour du dernier problème !
Dieu que John en sera blème !
