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D'un tronc à la sève hérétique!
Posté par chevalier dupin,
12 mars 2009
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mes sonnets de nuit, mes sonnets de jour
Ma poésie n'est tournée vers la mécanique,
Son hymne n'amène un chant de vermine à rets.
Arme à lisse lame, elle ne s'intègre hystérique,
Au fondement de la foi des prêcheurs du vrai !
Pas plus qu'avant, elle ne boudât ses idoles,
Elle contemple quand elles se font bonzaïs
Ou baobabs, poussant la rime sur son sol,
Elevant le jade en feuilles après sa piétaille !
Si ne lui échappe éloge de l'âpre hier,
Derrière l'aubaine n'y tendant un voilage,
Seule l'enfance du coeur lui parvient de paire !
Libre a-t-elle insouciance de n'être crue,
Ses vers ne se destinent à être dévots lus,
Qu'importe copieusement, s'ils ne sont sages !
Son hymne n'amène un chant de vermine à rets.
Arme à lisse lame, elle ne s'intègre hystérique,
Au fondement de la foi des prêcheurs du vrai !
Pas plus qu'avant, elle ne boudât ses idoles,
Elle contemple quand elles se font bonzaïs
Ou baobabs, poussant la rime sur son sol,
Elevant le jade en feuilles après sa piétaille !
Si ne lui échappe éloge de l'âpre hier,
Derrière l'aubaine n'y tendant un voilage,
Seule l'enfance du coeur lui parvient de paire !
Libre a-t-elle insouciance de n'être crue,
Ses vers ne se destinent à être dévots lus,
Qu'importe copieusement, s'ils ne sont sages !
