
Sonnet en l'étage de l'écaillé
Posté par chevalier dupin,
01 avril 2009
·
487 visite(s)
mes sonnets de nuit, mes sonnets de jour
Chassée la poisse honteuse des fées d'hiver,
L'âme songeuse délivrée des rêts d'hier,
Rien désormais ne s'empêche à maligne farce ;
Le printemps faisant son trou vert, brise la glace !
Alors désarmant comme un suicidaire roi,
Ou tel à lever ses pièges, bouffon au choix,
Au bon dos du renouveau et dans de beaux droits,
A des lièvres tristes, je me suspends pantois !
Espérant que l'on ne me découvre d'un fil,
Que pour rire, recouper le bonheur d'avril,
Je m'accroche aux épaules escarpées de dilemmes !
Sans surmenage, je bulle en carpe diem,
Canulars oranges y étant laquais de vers,
Transposés à l'abri des sérieux revers !
L'âme songeuse délivrée des rêts d'hier,
Rien désormais ne s'empêche à maligne farce ;
Le printemps faisant son trou vert, brise la glace !
Alors désarmant comme un suicidaire roi,
Ou tel à lever ses pièges, bouffon au choix,
Au bon dos du renouveau et dans de beaux droits,
A des lièvres tristes, je me suspends pantois !
Espérant que l'on ne me découvre d'un fil,
Que pour rire, recouper le bonheur d'avril,
Je m'accroche aux épaules escarpées de dilemmes !
Sans surmenage, je bulle en carpe diem,
Canulars oranges y étant laquais de vers,
Transposés à l'abri des sérieux revers !