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Mon épouvantail à maraud !
Posté par chevalier dupin,
19 juillet 2009
·
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mes sherlockonneries
Chez moi pendu,
En guise d'auréole,
Un fer en U,
Celui d'un royaume où j'alunis,
Ou le "hue !" de quelque équin, de bien symbole.
Puis une casquette à court de chasse,
Sous laquelle un visage dangereux s'efface,
Mais une pipe au bout de son bec,
Qui prolonge l'âme altière,
Grise d'un puissant cerveau,
Sans doute pour un aquilin profit,
Jusqu'à l'Albion d'une autre ère,
L'imaginaire s'envolant avec.
Dessous ensuite, les épaules galbées
Sur le cintre, esprit d'un fameux manteau,
Une cape se fête ample,
Au gré victorien de l'incroyable exemple.
Encore à bien y regarder,
Une loupe perce, sévère en son centre,
Toute empreinte de magnificence, concentre,
Tandis que fermé à mon brumeux malheur,
S'accorde acéré à l'éprouvante taille,
De mon contre-ennui, le noir en éventail,
Un faux gueux, noble et fatal parapluie ;
Moins pire hélas que moderne Moriarty,
Qui souvent maraude en mon vieux coeur !
En guise d'auréole,
Un fer en U,
Celui d'un royaume où j'alunis,
Ou le "hue !" de quelque équin, de bien symbole.
Puis une casquette à court de chasse,
Sous laquelle un visage dangereux s'efface,
Mais une pipe au bout de son bec,
Qui prolonge l'âme altière,
Grise d'un puissant cerveau,
Sans doute pour un aquilin profit,
Jusqu'à l'Albion d'une autre ère,
L'imaginaire s'envolant avec.
Dessous ensuite, les épaules galbées
Sur le cintre, esprit d'un fameux manteau,
Une cape se fête ample,
Au gré victorien de l'incroyable exemple.
Encore à bien y regarder,
Une loupe perce, sévère en son centre,
Toute empreinte de magnificence, concentre,
Tandis que fermé à mon brumeux malheur,
S'accorde acéré à l'éprouvante taille,
De mon contre-ennui, le noir en éventail,
Un faux gueux, noble et fatal parapluie ;
Moins pire hélas que moderne Moriarty,
Qui souvent maraude en mon vieux coeur !
