
Au monologue de sourd, n'ai-je été indien ?!
Posté par chevalier dupin,
02 août 2009
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mes sonnets de jour mes sonnets de nuit
L'écoute tendue à la grand voile d'Azur,
Frappé d'absurdité, ne percevant d'air pur,
Pour comme un sot, je me plante au passé l'entente,
Quand Borée des bois, sonne Automne et fort la vante !
Vermeille pendue à l'orée de l'âme en lobe,
S'attache leçon de folle merveille en robe ;
Bruit l'effeuillage de cette saison si femme,
Qui à la tendresse, crie de couleurs, le drame !
En boucle ce que j'ois, n'est au bonheur contraire,
Et poussant la porte de mon pavillon clair,
Mon temps des soeurs crises, se fait rouge la paire !
Par à-coups, phénomène estival acoustique
Se regrette, mais chez moi l'auditeur tragique,
Ne prête l'oreille, qu'étant sourde caustique !
Frappé d'absurdité, ne percevant d'air pur,
Pour comme un sot, je me plante au passé l'entente,
Quand Borée des bois, sonne Automne et fort la vante !
Vermeille pendue à l'orée de l'âme en lobe,
S'attache leçon de folle merveille en robe ;
Bruit l'effeuillage de cette saison si femme,
Qui à la tendresse, crie de couleurs, le drame !
En boucle ce que j'ois, n'est au bonheur contraire,
Et poussant la porte de mon pavillon clair,
Mon temps des soeurs crises, se fait rouge la paire !
Par à-coups, phénomène estival acoustique
Se regrette, mais chez moi l'auditeur tragique,
Ne prête l'oreille, qu'étant sourde caustique !