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Ivres s'entassent les maux de mon café théâtre !
Posté par chevalier dupin,
11 août 2009
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mon fourre-tout fou
Au saut du litron,
Vidant son pochtron,
Les pieds du réveil en peigne,
Tôt à son règne,
Heure m'étant impénétrable,
Ce matin ouais ! J'ai enfilé mon kawa !
Cul sec dans l'impasse par dessus moi,
Impair s'est-il aussi jeté derrière,
Ma cravate rouge imperméable,
Puis les genoux étant faibles comme jamais,
Soudain à la petite cuillère,
L'agence Tasse me ramassa !
Et lorsque encore égaré au parking,
La cuite d'hier j'avouais,
Aux collègues (dont Hyppolite) de bureau,
En une glaire sortant d'égout un rot,
Réveillant holà-là ! Mes instincts si bas,
Tel un boxeur sur le dring,
Mal embouché mais robuste me sonna,
On en parle encore : le téléphone arabica !
Vidant son pochtron,
Les pieds du réveil en peigne,
Tôt à son règne,
Heure m'étant impénétrable,
Ce matin ouais ! J'ai enfilé mon kawa !
Cul sec dans l'impasse par dessus moi,
Impair s'est-il aussi jeté derrière,
Ma cravate rouge imperméable,
Puis les genoux étant faibles comme jamais,
Soudain à la petite cuillère,
L'agence Tasse me ramassa !
Et lorsque encore égaré au parking,
La cuite d'hier j'avouais,
Aux collègues (dont Hyppolite) de bureau,
En une glaire sortant d'égout un rot,
Réveillant holà-là ! Mes instincts si bas,
Tel un boxeur sur le dring,
Mal embouché mais robuste me sonna,
On en parle encore : le téléphone arabica !
