
Poète, la messe est diète !
Posté par chevalier dupin,
19 août 2009
·
359 visite(s)
mon fourre-tout fou
De m'alimenter à force de polémiques,
D'avaler trop vertes en feuilles, les salades,
Qui se cueillent souvent aux jardins d'escalades,
Où loin, les pierres ne se jettent pacifiques,
Parce que j'agonise à m'en nourrir d'ennuis,
Joignant-là l'indigeste à la bonne parole,
Encor, j'ai besoin de mettre en mes plats, les ris,
De nouveaux paquets, pieds aériens et jolis,
De les passer au feu doux de ma casserole,
Tant au paradoxe, sinon trop je m'aigris !
Pour haut l'équilibre trouver à mon assiette,
Vais-je m'en servir d'un bond au coup de fourchette.
Finie l'énormité, la conscience qui pèse,
Langue chargée d'ego, mots plus je ne vomis,
Désormais je les rends légers, je les apaise.
Qui s'abaissent d'un doigt, pliés en folie douce,
A l'abandon, je les digère sur le pouce.
Pansée volage, âme libérée comme plume,
M'emplissant les yeux aux vers vidés d'amertume,
J'écris de joie, mais rien au lourd, je n'assourdis !
D'avaler trop vertes en feuilles, les salades,
Qui se cueillent souvent aux jardins d'escalades,
Où loin, les pierres ne se jettent pacifiques,
Parce que j'agonise à m'en nourrir d'ennuis,
Joignant-là l'indigeste à la bonne parole,
Encor, j'ai besoin de mettre en mes plats, les ris,
De nouveaux paquets, pieds aériens et jolis,
De les passer au feu doux de ma casserole,
Tant au paradoxe, sinon trop je m'aigris !
Pour haut l'équilibre trouver à mon assiette,
Vais-je m'en servir d'un bond au coup de fourchette.
Finie l'énormité, la conscience qui pèse,
Langue chargée d'ego, mots plus je ne vomis,
Désormais je les rends légers, je les apaise.
Qui s'abaissent d'un doigt, pliés en folie douce,
A l'abandon, je les digère sur le pouce.
Pansée volage, âme libérée comme plume,
M'emplissant les yeux aux vers vidés d'amertume,
J'écris de joie, mais rien au lourd, je n'assourdis !
J'aime ton style plein d'humour, ton sens du titre, et tes mots dont on dirait qu'ils courent et enserrent les murs comme du bon lierre !