
De parterre austère, ne fleurit qu'animal !
Posté par chevalier dupin,
26 août 2009
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mon fourre-tout fou
Par ce temple pourri d'incompréhensions,
Aux nuages de tous horizons,
Triste le Sain pleut d'esprit.
Pourtant ce qu'il projette en hallebardes,
N'enchante en bas, certains pâles bardes.
Eux sur Terre quand le sol ils ne touchent,
Bien qu'heureux simples d'aise prient,
Qu'au ciel, assoiffés ils ouvrent la bouche,
N'en boivent-ils que miséricorde de prêtre,
A ces cordes qui tombent, les pieds s'enchevêtrent !
Alors que sages ils pourraient de droit fil,
S'élever si loin des imbéciles,
Joignent-ils les mains aux gains d'âpre préhension,
Sans jamais s'attacher neuve dimension.
Zébrés de peur bleue se contentent-ils,
Choses autant à leur zoo, d'ânnoner débiles :
"Maître suprême de la flore,
Que toujours nous n'avons connue,
Créateur à beugler d'amour, d'aussi belle faune,
Toi, qui hélas n'a le téléphone,
Ecoute les maux ainsi simples qui s'implorent :
Petit Zébu,
Ne brillez pour loups,
Mais pauvres de gnous !"
Aux nuages de tous horizons,
Triste le Sain pleut d'esprit.
Pourtant ce qu'il projette en hallebardes,
N'enchante en bas, certains pâles bardes.
Eux sur Terre quand le sol ils ne touchent,
Bien qu'heureux simples d'aise prient,
Qu'au ciel, assoiffés ils ouvrent la bouche,
N'en boivent-ils que miséricorde de prêtre,
A ces cordes qui tombent, les pieds s'enchevêtrent !
Alors que sages ils pourraient de droit fil,
S'élever si loin des imbéciles,
Joignent-ils les mains aux gains d'âpre préhension,
Sans jamais s'attacher neuve dimension.
Zébrés de peur bleue se contentent-ils,
Choses autant à leur zoo, d'ânnoner débiles :
"Maître suprême de la flore,
Que toujours nous n'avons connue,
Créateur à beugler d'amour, d'aussi belle faune,
Toi, qui hélas n'a le téléphone,
Ecoute les maux ainsi simples qui s'implorent :
Petit Zébu,
Ne brillez pour loups,
Mais pauvres de gnous !"