
Sauvages débris de nos hermétismes
Posté par chevalier dupin,
13 septembre 2009
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mes libertinages tendres
Sous mes dehors, qui toujours n'enchantent,
Dans les décors de toi et de moi qui se plantent,
Je nous pousse les portes du dedans,
Si battantes aux coeurs les imitant !
A notre boîte à musique de chambre,
Je cherche la clé des chants de septembre,
Je farfouille avide les poches d'airs,
Qui remplissaient de sons nos coursives,
Qui ventilaient d'amour nos déserts,
Qui chassaient le bruit des notes,
Des passions casquées de pointes intrusives !
Mais du tout cuivré, tombé au fond
Du trousseau hérité de ta dot,
Qu'un trombone ne se trouvant à tes coulisses,
En prends-je pourtant la frissonnante mesure !
Du fil de féerie à te retordre,
Je crochète ton inviolable serrure,
Y force la sorcellerie en bon ordre,
Puis rossignol jouant à l'ouie de ton violon,
M'ouvre la nef au centre de tes éclisses !
Alors pieusement où que je te porte,
Ointe de mon seigneur où que tu ailles,
Nous dérouillons ensemble l'or d'un portail,
Au paradis d'un roi soleil en quelle sorte,
Par quel dieu encore de notre Versailles !
Enfin de poésie en noble brocante,
Reine satire d'éternel sentiment,
Qui par notre nature trône ardente,
Emerveillés par et pour des bouchées de Pan,
Y faisons nous les plus belles des retrouvailles !
Dans les décors de toi et de moi qui se plantent,
Je nous pousse les portes du dedans,
Si battantes aux coeurs les imitant !
A notre boîte à musique de chambre,
Je cherche la clé des chants de septembre,
Je farfouille avide les poches d'airs,
Qui remplissaient de sons nos coursives,
Qui ventilaient d'amour nos déserts,
Qui chassaient le bruit des notes,
Des passions casquées de pointes intrusives !
Mais du tout cuivré, tombé au fond
Du trousseau hérité de ta dot,
Qu'un trombone ne se trouvant à tes coulisses,
En prends-je pourtant la frissonnante mesure !
Du fil de féerie à te retordre,
Je crochète ton inviolable serrure,
Y force la sorcellerie en bon ordre,
Puis rossignol jouant à l'ouie de ton violon,
M'ouvre la nef au centre de tes éclisses !
Alors pieusement où que je te porte,
Ointe de mon seigneur où que tu ailles,
Nous dérouillons ensemble l'or d'un portail,
Au paradis d'un roi soleil en quelle sorte,
Par quel dieu encore de notre Versailles !
Enfin de poésie en noble brocante,
Reine satire d'éternel sentiment,
Qui par notre nature trône ardente,
Emerveillés par et pour des bouchées de Pan,
Y faisons nous les plus belles des retrouvailles !