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Oubliée, l'étrangère manie de la séparation ?
Posté par chevalier dupin,
11 novembre 2009
·
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mon fourre-tout fou
Que reste-t-il des rivaux d'enfer,
De leur paravent de mort,
Symbole de l'homme à poigne,
Contre la poigne du fier ?
Que subsiste-t-il de ce ciment de guerre,
Froidement monté à la peine des corps,
De deux moitiés d'Allemagne,
Que tant d'effrois pilonnèrent ?
Que sentent encore au souvenir d'hier,
Ces pans de haine dont jamais l'aurore,
D'Est en Ouest, au soleil ne témoigne ?
Qu'exhalent les chemins de Goethe à cet air ?
De la duplicité des "Berliners"
Persiste-t-il un relent de remords,
Un parfum de honte qui s'éloigne,
Ou l'odeur tenace d'une chasse aux sorcières ?
Ange bleu, bien qu'au ciel, tu gardes au rideau de fer,
L'arôme d'un mur de Merlin, son goût du sort,
Chère Marlene enchanteresse, aujourd'hui tout se soigne ;
La bure qui enrobe Berlin n'est plus de pierre !
De leur paravent de mort,
Symbole de l'homme à poigne,
Contre la poigne du fier ?
Que subsiste-t-il de ce ciment de guerre,
Froidement monté à la peine des corps,
De deux moitiés d'Allemagne,
Que tant d'effrois pilonnèrent ?
Que sentent encore au souvenir d'hier,
Ces pans de haine dont jamais l'aurore,
D'Est en Ouest, au soleil ne témoigne ?
Qu'exhalent les chemins de Goethe à cet air ?
De la duplicité des "Berliners"
Persiste-t-il un relent de remords,
Un parfum de honte qui s'éloigne,
Ou l'odeur tenace d'une chasse aux sorcières ?
Ange bleu, bien qu'au ciel, tu gardes au rideau de fer,
L'arôme d'un mur de Merlin, son goût du sort,
Chère Marlene enchanteresse, aujourd'hui tout se soigne ;
La bure qui enrobe Berlin n'est plus de pierre !
