michelconrad' Blog
Sur le tapis vert
de la vie,
j’ai suivi la martingale
du verbe « aimer ».
3/12/17
de la vie,
j’ai suivi la martingale
du verbe « aimer ».
3/12/17
Nous avons, chaque jour, à rompre avec la chrysalide du jour précédent : pour parvenir à cela, l’écriture doit prendre toute sa place.
1/12/17
"La chemin de la forêt" (1/12/17). Tous droits réserbés.
https://img15.hostingpics.net/pics...
1/12/17
"La chemin de la forêt" (1/12/17). Tous droits réserbés.
https://img15.hostingpics.net/pics...
Marcher dans la neige,
retrouver les paysages
de l’enfance,
l’amer trésor
des solitudes.
1/12/17
"La rivière" (1/12/17). Tous droits réservés.
https://img15.hostin...112172429176...
retrouver les paysages
de l’enfance,
l’amer trésor
des solitudes.
1/12/17
"La rivière" (1/12/17). Tous droits réservés.
https://img15.hostin...112172429176...
Lire un poème de Boetiane (écrit après la publication de son poème "Tar pit _berries")
Posté par michelconrad,
01 décembre 2017
·
370 visite(s)
Lire un poème de Boétiane, c’est, un peu, faire une expérience semblable à celle que l’on faisait, enfant, dans les fêtes foraines, en montant dans le train-fantôme, que l’on empruntait, toujours, avec effroi et volupté. Ici, il s’agit de l’effroi de se perdre dans les champs lexicaux, dans...
Quand je t’aurai choisie
par algorithme,
je t’offrirai mille roses
numériques,
je te dirai mes sentiments
par vidéo,
en jurant d’aimer toujours
ton hologramme,
– mais tout ce « virtuel » sera
à coup sûr, un « tue-la-vie...
par algorithme,
je t’offrirai mille roses
numériques,
je te dirai mes sentiments
par vidéo,
en jurant d’aimer toujours
ton hologramme,
– mais tout ce « virtuel » sera
à coup sûr, un « tue-la-vie...
Entre bonheur et malheur,
amour et désamour,
il y a le frôlement d’ailes
de l’ange déchu.
30/11/17
amour et désamour,
il y a le frôlement d’ailes
de l’ange déchu.
30/11/17
L'amour est inéluctable,
il est écrit dans le ciel,
il s'enfuit, comme le sable,
de nos cœurs il est le maître,
il est écrit dans le ciel,
comme le jour dans la nuit,
de nos cœurs il est le maître,
veux-tu donc que je t'oublie ?
comme le jour dans la nuit,
quand advient une a...
il est écrit dans le ciel,
il s'enfuit, comme le sable,
de nos cœurs il est le maître,
il est écrit dans le ciel,
comme le jour dans la nuit,
de nos cœurs il est le maître,
veux-tu donc que je t'oublie ?
comme le jour dans la nuit,
quand advient une a...
Dans l'ouragan d'aimer,
mon cœur craint le naufrage,
et comment oublier
la douceur de votre âme,
mon cœur craint le naufrage,
ô ma rose trémière,
la douceur de votre âme
c'est une aube première,
ô ma rose trémière,
désormais je me perds,
c'est une aube...
mon cœur craint le naufrage,
et comment oublier
la douceur de votre âme,
mon cœur craint le naufrage,
ô ma rose trémière,
la douceur de votre âme
c'est une aube première,
ô ma rose trémière,
désormais je me perds,
c'est une aube...
Le poète, chaque jour, livre au non-dit un combat singulier : il doit déchiffrer cette lame de fond de l’amour qui l’emporte, vague que rien n’arrête, que l’on pourrait exprimer en quelques mots et que, tout à la fois, des milliers de pages ne sauraient dire, – car elle vient de loin et le mène...
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