Je te regarde et tu t'illumines
comme si la géologie des distances
n'avait rien perdu de son incandescence
tu restes ma nuit d'arborescence
eau et ciel ciel et eau déliés
immenses dont l'infini visage
érige cette cité abstraite
au fond de moi malgré moi
réinvente mon corps mon esprit
au milieu des clartés des échos
sous les paupières incendiées
ponts entre paroles et silence
voile d'ombre sur les blessures
ton corps est vague de présence
qui chaque instant recrée les évidences
mains de source parées de transparences
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En la douceur du jour...11 mai 2020
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Instants d'ELLE : son silence extrême(invisible)... sa Présence au mondeLaurence HERAULT - juin 06 2020 07:24
Son visage active
Il est présent
Il est mien
Sans cesse revient
Dans la joie, le chagrin
Sans transparence
Car ce visage
Meme fugace
Il est mien.