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Instants d'ELLE : Une étoile est née. son souffle vif, pour seul lien...
Posté par hasia,
12 juin 2020
·
1 286 visite(s)
7
hasia Blog
Instants d'ELLE : son silence extrême(invisible)... sa Présence au monde
Posté par hasia,
05 juin 2020
·
659 visite(s)
***
" Bruissement sans nom, signes
au large dispersés
qui te rendent au mystère
dans cette humaine traversée
paupières refermées sur le jour
battant, vent et eaux
tu cherches souffle
comme poids de lumière, arche
comme...
" Bruissement sans nom, signes
au large dispersés
qui te rendent au mystère
dans cette humaine traversée
paupières refermées sur le jour
battant, vent et eaux
tu cherches souffle
comme poids de lumière, arche
comme...
Instants d'ELLE : son cri tenu, jusqu'à l'acmé du chant...
Posté par hasia,
04 juin 2020
·
607 visite(s)
" Toujours nous attend un sentier d'été
A travers les durables senteurs céréales
A travers le bois de hêtres, de chênes bruissant
De frôlements, de craqueme...
A travers les durables senteurs céréales
A travers le bois de hêtres, de chênes bruissant
De frôlements, de craqueme...
Instants d'ELLE ...sa joie, sa souffrance, ses appels au secours...
Posté par hasia,
03 juin 2020
·
1 017 visite(s)
"Avant la tempête annoncée,
Il y a ce coin d'hiver,
Ce coin perdu de l'univers,
Où s'attarde un reste de soleil,
un morceau de soleil délaissé,
Etrangement présent encore,
Etrangement transparent,
Dorant à point le muret,
marque de la clôture humaine.
Il y...
Il y a ce coin d'hiver,
Ce coin perdu de l'univers,
Où s'attarde un reste de soleil,
un morceau de soleil délaissé,
Etrangement présent encore,
Etrangement transparent,
Dorant à point le muret,
marque de la clôture humaine.
Il y...
Au gré de l'ange
*
faire
silence
cet
Art
consommé
du
partage
Au gré de l'ange
*
saisir
la beauté
cet
enchantement
qui
borde
notre chemin
et
*
écouter
le monde
en sa parole
vive
*
faire
silence
cet
Art
consommé
du
partage
Au gré de l'ange
*
saisir
la beauté
cet
enchantement
qui
borde
notre chemin
et
*
écouter
le monde
en sa parole
vive
Indigents de l'amour
que saurions-nous
procurer
de plus
si ce n'est
de sublimes motifs
face
à Toi
qui laisse
couler ta vie
aux fontaines du secours
que saurions-nous
procurer
de plus
si ce n'est
de sublimes motifs
face
à Toi
qui laisse
couler ta vie
aux fontaines du secours
Pour que les gens
qui
nous possèdent
nous
gardent
faudrait-il
qu'ils
nous conservent
qui
nous possèdent
nous
gardent
faudrait-il
qu'ils
nous conservent
Mais
Dans quelle chasse
est
donc
Le Décalogue
Le Cadre l'enchâsse
Dans quelle chasse
est
donc
Le Décalogue
Le Cadre l'enchâsse
L'encre des mots
coule
jusqu'au coeur
de la Terre
Les pages blanches
tourbillonnent
au gré
de l'automne
Le silence
nappe le temps
jusqu'au bord
du monde
Seul
le vent demeure
Et protège en son souffle
ce que j'aime tant
coule
jusqu'au coeur
de la Terre
Les pages blanches
tourbillonnent
au gré
de l'automne
Le silence
nappe le temps
jusqu'au bord
du monde
Seul
le vent demeure
Et protège en son souffle
ce que j'aime tant
Majestueuses
les branches alourdies de cristaux
s'inclinent
jusqu'aux parterres
drapés
en manteau d'hiver
Le petit chemin se perd
entre
les grands arbres blancs
la neige
assourdit
le pas de l'aube
silence
éternité
Paisible
la Nature aux mille feux
n'a de cesse
de s'inviter...
les branches alourdies de cristaux
s'inclinent
jusqu'aux parterres
drapés
en manteau d'hiver
Le petit chemin se perd
entre
les grands arbres blancs
la neige
assourdit
le pas de l'aube
silence
éternité
Paisible
la Nature aux mille feux
n'a de cesse
de s'inviter...
Paupières baissées
L'entre-deux silence
glisse
Le long du rivage
d'éternité
et
ouvre
sur l'horizon
de l'infinie
pensée
La parole
recompose
ses dunes
à perte de vue
et
livre
ses diamants
de rosée
au petit jour
naissant
L'entre-deux silence
glisse
Le long du rivage
d'éternité
et
ouvre
sur l'horizon
de l'infinie
pensée
La parole
recompose
ses dunes
à perte de vue
et
livre
ses diamants
de rosée
au petit jour
naissant
Ecrire
Page blanche
Graver la page
de l'insolite de l'image
Dessiner le cercle
D'un geste-impression preste
Les mots, écrire...
Créer
Vivre et écrire l'éventail des signes
Figures de style, géométrie fragile
Correspondances analogies
Démonstration intime...
Page blanche
Graver la page
de l'insolite de l'image
Dessiner le cercle
D'un geste-impression preste
Les mots, écrire...
Créer
Vivre et écrire l'éventail des signes
Figures de style, géométrie fragile
Correspondances analogies
Démonstration intime...
Au vertige du monde
je t'invente un visage d'eau
transparent et limpide
tourbillons de mes pensées
île sans âge où trône la vie
embuscades d'amour
et insomnies
sous les feux de solitude
la véhémence secrète de la nuit
impénétrable appelle la clarté
prési...
" Sur le ventre ouvert du pays
un enfant dépose une branche cendrée
est-ce le bras ou la main qui sont calcinés?
Le corps minuscule n'est qu'un visage
une lumière brève sur les lèvres
et le poids immense des regards dévastés."
Tahar Ben Jelloun, Non Identifiés, 1995.
un enfant dépose une branche cendrée
est-ce le bras ou la main qui sont calcinés?
Le corps minuscule n'est qu'un visage
une lumière brève sur les lèvres
et le poids immense des regards dévastés."
Tahar Ben Jelloun, Non Identifiés, 1995.
Traverser
cet ailleurs du rêve
frôler
la beauté son reflet
partager
la force de l'amour
approcher
le mystère de la vie
en chacun de nous
réédition: le 18/11/2006
cet ailleurs du rêve
frôler
la beauté son reflet
partager
la force de l'amour
approcher
le mystère de la vie
en chacun de nous
réédition: le 18/11/2006
Silence satiné
nuit profonde
au coeur
Rai alarmé
entre
paupières closes
Panser
la blessure
Froissement de l'âme
léger
duvet soyeux d'émotion
disséminè
en la ramure de la vie
enfouie
Pousse sur le jour
en bouleverse
l'ineffable
Beauté
nuit profonde
au coeur
Rai alarmé
entre
paupières closes
Panser
la blessure
Froissement de l'âme
léger
duvet soyeux d'émotion
disséminè
en la ramure de la vie
enfouie
Pousse sur le jour
en bouleverse
l'ineffable
Beauté
"Une plante odorante et sauvage
entre stèle et souvenir
dire le jour du funambule aux pieds légers
dire l'amour aux bras immenses que tend l'arbre au ciel
dire la neige qui ferme les paupières de ce corps oublié
face à la lumière nue
immobile"
Tahar Ben Jelloun, Non identifiés, 1995 .
entre stèle et souvenir
dire le jour du funambule aux pieds légers
dire l'amour aux bras immenses que tend l'arbre au ciel
dire la neige qui ferme les paupières de ce corps oublié
face à la lumière nue
immobile"
Tahar Ben Jelloun, Non identifiés, 1995 .
Pourquoi?
"Une poussière blanche tombe sur le visage
c'est un peu du ciel qui nous ferme les yeux.
Dans leur chute
les étoiles perdent la lumière
elles s'écrasent dans ce désert sans faire de bruit.
Il est tard pour notre Destin
Nous arrivons toujours en retard pour vivre
mais pour mourir ils...
"Une poussière blanche tombe sur le visage
c'est un peu du ciel qui nous ferme les yeux.
Dans leur chute
les étoiles perdent la lumière
elles s'écrasent dans ce désert sans faire de bruit.
Il est tard pour notre Destin
Nous arrivons toujours en retard pour vivre
mais pour mourir ils...
...
"et si je dramatise
c'est parce qu'au fond
je suis homme de synthèse
et si je crie
comme si je ne voyais derrière moi que ruines sur ruines
c'est parce que je sais
ce qu'il en coûtera
surtout maintenant
pour mériter la parole
notre face humaine
mériter l'allégresse à venir
car...
"et si je dramatise
c'est parce qu'au fond
je suis homme de synthèse
et si je crie
comme si je ne voyais derrière moi que ruines sur ruines
c'est parce que je sais
ce qu'il en coûtera
surtout maintenant
pour mériter la parole
notre face humaine
mériter l'allégresse à venir
car...
Deux heures, déjà...
Une odeur de café vient frôler ma narine.
Le bruit sourd incessant des valises qui partent.
Les gens attablés au bar express semblent préoccupés.
Le voyage est-il stress insupportable?
Seule, sans but, sinon attendre.
Je ne peux pas... j'attends.
L'horloge me rappelle les minutes...
Une odeur de café vient frôler ma narine.
Le bruit sourd incessant des valises qui partent.
Les gens attablés au bar express semblent préoccupés.
Le voyage est-il stress insupportable?
Seule, sans but, sinon attendre.
Je ne peux pas... j'attends.
L'horloge me rappelle les minutes...
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En la douceur du jour...11 mai 2020
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Instants d'ELLE ...sa joie, sa souffrance, ses appels au secours...Loup-de-lune - janv. 02 2021 10:21 -
L'homme feutréhasia - sept. 06 2020 02:18
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Instants d'ELLE : son silence extrême(invisible)... sa Présence au mondeLaurence HERAULT - juin 06 2020 07:24
