Vibration suspendue entre nos regards nés de la nuit
lumière vertige entrelacés tour fragile de nos infinis
en Toi je cherche la vague
le chant du fleuve précieux
cette auberge faite de rosée
ton cri nomade me touche profondément broyé
sans lieu sans rivage comme un jardin terrible
où ton visage cerné respire l'air calciné
d'une mémoire désertée où tes yeux sculptent
l'ombre où la vie vacille altérée
Immensité sans nom
je voudrais te nommer
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En la douceur du jour...11 mai 2020
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Instants d'ELLE : son silence extrême(invisible)... sa Présence au mondeLaurence HERAULT - juin 06 2020 07:24
Aux sons sourds de la nuit
Deux vagues à l'abandon
Se cherchent à l'infini
Du flot des sensations
Se touchent dans le cri
De leurs invocations
Apaisant la folie
A l'aveugle sans nom
Deux vagues dans la nuit
Suspendent l'émotion.
Merci pour votre sublime
Inspiration de mes rimes
Baisers
arsinoe