Avec quelques mots je trace ton visage
sans jamais oublier ce vent d'oiseaux
parmi les pierres calcinées du silence
la lumière dorée du soleil sur ton front
Tu es ce dieu incarné dans l'inachèvement
du temple de vie sur les rives d'un océan
à l'aplomb de ces rocailles démantelées
encerclées d'aube et de poussière griffée
Sous l'ombre des nuages légers voyageurs
parmi l'incandescence d'un vertige infini
ferme les yeux ouvre bien grand ton coeur
la vie haute traverse l'insaisissable cri
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En la douceur du jour...11 mai 2020
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