Murmure du rêve en marche
l'heure blanche
ondoie en silence
poésie du non-dit
aux couleurs invisibles
ton regard
-autre-
éclaire le monde
ses extases secrètes
et délie ton corps
de ses visions immobiles
Eminence
des chimères incandescentes
sous tes paupières mi-closes
l'obscur
dévêt
l'indicible désir
à la lumière
du temps sidéral
du vivre
du mourir
en soi
Vertige du corps
éperdu
sous le soleil blanc
de la Présence transfigurée
vivant
parmi les éboulis de l'amour
et du sens
entre neige et silence
où
dévoré de lumière
tu deviens
île
l'heure blanche
ondoie en silence
poésie du non-dit
aux couleurs invisibles
ton regard
-autre-
éclaire le monde
ses extases secrètes
et délie ton corps
de ses visions immobiles
Eminence
des chimères incandescentes
sous tes paupières mi-closes
l'obscur
dévêt
l'indicible désir
à la lumière
du temps sidéral
du vivre
du mourir
en soi
Vertige du corps
éperdu
sous le soleil blanc
de la Présence transfigurée
vivant
parmi les éboulis de l'amour
et du sens
entre neige et silence
où
dévoré de lumière
tu deviens
île
- captaim aime ceci