"les saisons et les hommes coulent comme un seul fleuve
interminable sous des arches de siècles,
vers le centre vivant de l'origine,au-delà de la fin et du
commencement."
Octavio Paz
Page blanche
l'élan ineffable
ose l'émoi de l'aube
sous courbure de silence
captif
du fracas ultime
de la géométrie des gestes
empreints des brisures
de l'amour
au plus vif du tumulte
intact
au centre vibrant
de la fulgurance
du jour
où nos présences rompues
retiennent
la clarté affilée
de l'invisible trame
de nos peaux
entravées