Reflets
de ton désir
de ton sanglot
entretissés d'échos
que précipite
la transparence de la flamme
au fond de ton regard
dont la beauté
incarne
cette Présence inamissible
qui respire
encor
en moi
Profondeurs
du brasier
du vertige
cristallisés en moi
que dissipe
la vague du temps
à l'aplomb du miroir
dont le tain
corrode
la densité sourde
du silence
qui gagne
encor
en moi
de ton désir
de ton sanglot
entretissés d'échos
que précipite
la transparence de la flamme
au fond de ton regard
dont la beauté
incarne
cette Présence inamissible
qui respire
encor
en moi
Profondeurs
du brasier
du vertige
cristallisés en moi
que dissipe
la vague du temps
à l'aplomb du miroir
dont le tain
corrode
la densité sourde
du silence
qui gagne
encor
en moi
le vertige de connaître il doit y avoir quelque chose d'universel car vos maux dépeignent
à merveille cette grâce la, pour moi aussi inassouvie qu'inespérée
Merci de me donner voix
Au plaisir de vous lire