A la lisière de la nuit
une forêt profonde ombrée
un talus proche inhospitalier
une nuit douce sans lune
Silence du destin invisible
une nostalgie à renaître
et cette envie de vivre
impérieuse montée du rêve
Sur la crête du temps
égarés à portée du ciel
nos corps de Souffles comblés
furent sources obscures
Partage inouï du respir
de l'unique de nos royaumes
où l'écume de nos larmes
fut saut de vague oublié
une forêt profonde ombrée
un talus proche inhospitalier
une nuit douce sans lune
Silence du destin invisible
une nostalgie à renaître
et cette envie de vivre
impérieuse montée du rêve
Sur la crête du temps
égarés à portée du ciel
nos corps de Souffles comblés
furent sources obscures
Partage inouï du respir
de l'unique de nos royaumes
où l'écume de nos larmes
fut saut de vague oublié