Longues nuits lentes
éternité de l'errance
dans l'immensité
des rêves primordiaux
Signes d'infini
face à la grâce
qui habite l'oasis
de ton coeur de douceur
Déserts foudroyés
sauts de vague abîmés
écume nomade brisée
eau de mer dispersée
Insaisissable dénouement
sous tes ciels d'orient
où le colibri jaillissant
de sa voix irradie le ciel
éternité de l'errance
dans l'immensité
des rêves primordiaux
Signes d'infini
face à la grâce
qui habite l'oasis
de ton coeur de douceur
Déserts foudroyés
sauts de vague abîmés
écume nomade brisée
eau de mer dispersée
Insaisissable dénouement
sous tes ciels d'orient
où le colibri jaillissant
de sa voix irradie le ciel
bonjour hasia tes mots sont d'une douceur beau poeme ton écriture est fluide