Nulle porte nulle issue
chaque instant
je te perds un peu plus
seul ton visage
consent encor à la lumière
à la douceur infinie
d'un regard silencieux
rassemblé
sur le sentier épineux
de la vie
Il y a bien longtemps
Autrefois le souffle
aujourd'hui la poussière le vent
la détresse la tendresse
comblent le néant
Il y a tant de solitude
dis-moi
où est l'amour
sans Toi