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Connivences

Posté par hasia, 10 novembre 2009 · 374 visite(s)

Aux heures de gloire aux heures de peine
ton front resplendit encore

sur les chemins de solitude pleine
ton regard se couvre se meurt

en arrêt devant les miroirs abimés
à l'engrenage fatal du vivre

mais un soleil nu effleure ton corps assoiffé
alors sa lumière est caresse d'été

l'oiseau léger accompagne la rosée
aux portes de l'eau l'ange veille.