Qu'il est doux de vous voir ainsi.
Les mots ne sont plus et les yeux,
Vous caressent d'une courbe à demi
Découverte à l'autre dessinée en creux.
Et je vous vois émoustillée, mouillée,
De ce désir qui flambe tout en vous,
Dessous, dessus votre peau frissonne,
Étoilée de mille baisers gondoliers,
Par cet inconnu, ce humble parolier,
Et ce pouls qui s’accélère, secoue
Vos fibres à ces mots qui papillonnent,
En farandole autour de votre corolle
Qui s'ouvre au matin câlin, se donne,
Vagues crescendo puis qui s'envolent,
Là où les orgasmes vous font lionne !
© Max-Louis MARCETTEAU
Les mots ne sont plus et les yeux,
Vous caressent d'une courbe à demi
Découverte à l'autre dessinée en creux.
Et je vous vois émoustillée, mouillée,
De ce désir qui flambe tout en vous,
Dessous, dessus votre peau frissonne,
Étoilée de mille baisers gondoliers,
Par cet inconnu, ce humble parolier,
Et ce pouls qui s’accélère, secoue
Vos fibres à ces mots qui papillonnent,
En farandole autour de votre corolle
Qui s'ouvre au matin câlin, se donne,
Vagues crescendo puis qui s'envolent,
Là où les orgasmes vous font lionne !
© Max-Louis MARCETTEAU
- M. de Saint-Michel aime ceci