
à la gorge déployée,
à la pente boisée.
La Vire, ses collines,
paysage de magie,
changeant au gré du vent,
nuages blancs,
nuages gris.
Telle une danse
capricieuse et harmonieuse,
les haies quadrillent
les verdoyantes prairies.
Dans l’herbe
parsemée de trèfles
les vaches curieuses,
finissent de brouter,
nous regardent passer.
Chemins sinueux et escarpés de mon enfance.
Un souffle d’air chaud
caresse les feuilles,
je me sens virevolter.
- silver, M. de Saint-Michel et Sinziana aiment ceci
Au charme actuel du paysage vient s'ajouter (comme en surimpression) la nostalgie de l'enfance... Présent et passé ne font plus qu'un.