Depuis : L'oiseau de mon coeur

 
Ils on tué l'oiseau de mon coeur éphémère et rieur,
tout proche, en moi, palpitaient ses ailes pour me donner vigueur,
la cage joyeusement habitée, ils l'ont saccagée, ouverte aux dangers du grand large,
l'oiseau à l'ivresse pressé s'en est allé, loin, trop loin du havre sage
pour l'éternité...il n'a laissé aucune trace du vivace chant à la gorge charme,
j'ai perdu le" la" délicat donneur d'espoir à l'envol de mes journées de plein été brisées en éclats
pauvres petites ailes, où trouverez-vous maintenant un autre coeur pour vous abriter,
vous n'êtes pas faites pour les grandes futaies qui chavirent les âmes blessées.