Depuis : Pépites des yeux

 
Pupilles, pépites sous paupières, à l'iris de ton pétillant,
bouchon de liège à la détente déferlante de vues plénières,
vous observez ou contemplez de l'extérieur
l'intérieur des paysages aux plans qui pensent.
 
Pupilles, pépites dilatées de l'enfer à l'obscurité de siège et de règne,
percées aveuglées au noir de l'insolite des ombres passagères,
vous tâtonnez les vérités premières,
dédales en marche de détails aides, au réveil
de l'empoignade des marques et des prises solidaires,
d'un pas boitant où buttent les affres des entraves.
 
Pupilles, pépites contractées aux rideaux de cils,
batailles qui s'arment contre les lames saignées des épées soleil,
éventail au protégé du souffle de la lumière,
vous livrez le combat entre l'ébloui conquis et le terne de fers
et gagnez de partages le clair-obscur où repose nette
la vision du siècle , entre ouverture et défaite.