Jeunesse, je t'ai gardée sous ma peau
palpable et fragile, tu fais voler les armes
avec la force du rêve, tous les hommes sont au repos,
avec la force du rêve, il n'existe aucun drame à cet âge.
Jeunesse, tu t'infiltres dans mon cerveau,
libre et dégagé, il presse les pensées au méli-mélo de sentiments sans faux,
prompt et dépêché, il lance des regards d'amour à la volée d'un espace oiseaux,
avec humilité, il nous apprend la défense comme un droit à bouche ouverte, mot à mot.
Source : Jeunesse