Cette immense maison qui n’avait pas de toi
Où la meute de loups piétinait l’ode
Elle respirait comme à l’ endroit
D’une vie que les vents érodent
Le courage me manquait pour en franchir le seuil
Alors je regardais par la fenêtre
L’exode des sentiments, je faisais mon deuil
Pour ne pas espérer, ne pas être