Une foule très dense
s ’active dans une ville immense
une infinité de visages et des bruits intenses
tout un mélange d’ espérance de détresse et de souffrance
Sur la scène de la vie citadine
tous le monde s ’active avec une souplesse anodine
ça bouge dans tous les sens
Ont-ils goûté à la fontaine de la jouvence ?
ou es ce uniquement le fruit du besoin et de l ’insuffisance ?
Une longue promenade dans les alentours
luxure et misère se côtoie dans une mystérieuse tiédeur
On entend parfois des cris de joies et des rires
et d ’autrefois des expressions violentes et des soupirs
Que portent ces citadins sur le cœur ?
Les uns avec leurs airs de connaisseurs
se pavanent en regardant tout autour
d ’autres pressés sur le chemin de l ’aller ou celui du retour
certains paraissent plus futiles et font les maraudeurs
et des écoliers qui passent insouciants de ce qui les entoure
que pensent ces citadins chaque jour ?
L’ extérieur paraît fort et de valeur
l ’intérieur que l ’on ressent reste fragile et sans teneur
es ce parce que l ’horizon se dessine avec plus de laideur
ou parce qu’il voient leurs rêves s ’envoler en vapeur
La vie citadine a perdue sa beauté d ’autrefois et ses senteurs
elles s ’est remplie de violence et de peur
elle fait vivre à ses gens beaucoup de stresse et de frayeurs
et dans l ’attente d ’un lendemain meilleur
Une autre question se dégage
Ou réside l ’erreur ?