Élégie
Je me dis qu’on pourrait fraichir les sillons des terrains immondes.
Je me dis que la chaleur de ces jours anciens nous inonde,
Vous qui nette plus qu’aux bras des frontières glaciales d’une vie.
Perdre votre Amour, Je pense qu’il fuie.
Éternel, fleurs qu’il me semble vous voir porter en nos cœurs.
Puisqu’il me semble ta main dans la mienne
Précipiter notre séjour à Vienne;
Tels sont nos âmes promeneurs.
Que sonne éperdument,
Les souvenirs des ballades rêveurs
Sans cris alerteurs, sous le soleil levant.
Il est vrai que vous me sembliez belle;
Mais ma soif est un divin courroux;
À l'ombre de votre ombrelle. Dès lors, Je ne peux que continuer ma route.
Route, rêve d’enfant, de ceux qui prient et qui pleure,
Qui ne possède qu’extravagance
Les songes de ceux qui rient, et de leurs malheurs.
Cela, si chère qui ne souffre que d’ennivrance.
Qui n’as d’affligeant, que nos caresses libertaires aux grés des vents.
Pinchon Guillaume