675 réponses à ce sujet

[denis_h]

oh oh ! le torchon brûle entre victor et sério, on dirait ...

[denis_h]

ah pardon, je n'avais pas compris.

[serioscal]

- Mais la liberté, qu'est-ce que c'est ?

Pendant que l'homme méditait, le chien faisait caca sur sa chaussure droite.
- Ouah ! Ouah !

L'homme s'irrita :
- Tais-toi donc, maudit clébard ! J'interroge le concept de liberté, ça pourrait te concerner !

Et le chien qui venait de terminer sa commission de rétorquer :
- Ouah ! Ouah !

L'homme sortit un mouchoir de sa poche intérieure droite et nettoya la chaussure.
Le soir tombait.

L'homme reprit son chemin.

Les interrogations métaphysiques ne trouvaient de réponse que dans les sandwicheries.

[Jérôme nyctalo]

L'homme décida de se rendre dans la sanwicherie la plus proche.

Cependant, le chien le suivait, en zieutant sournoisement sa chaussure droite.

- Va donc, sale clébard, va donc, je n'ai plus de mouchoir disponible! Et tu prends un peu trop de liberté, là!

- Ouah! Ouah! répondit le chien en lorgnant toujours le pied droit de l'homme.

- Je ne parle pas le chien, donc j'ignore ce que tu dis, mais cesse de regarder ma chaussure droite de cette façon glauque!

Ayant dit cela le plus fermement possible, l'homme entra vivement dans la sandwicherie.

- Ah! se réjouit-il à voix haute, elle est libre-service! C'est peut-être cela le début de la liberté?!

- Ouah! Ouah! firent les sandwichs dans un bel ensemble.

L'un d'eux, toutefois, était resté silencieux.

- Ah! tu as une bonne tête, toi! Je vais te choisir!...

- Coin! Coin! fit le sandwich.

- Dans cette sandwicherie peu éclairée, j'entends un sandwich qui cancane. A quoi cancane-t-il? Finalement les sandwicheries elles-mêmes offrent plus de questions que de réponses, si je comprends bien? réfléchit à nouveau l'homme.

- Dîtes donc, mon gaillard, cria un agent entré en coup de vent, il est bien à vous le clébard pervers qui fait caca sur la chaussure droite de tout client  essayant de pénétrer dans l'établissement?!

[serioscal]

Une femme regardait le lavabo de sa salle de bain. Elle était proche de pleurer.
- Il devrait être mauve, ce lavabo ? Pourquoi l'ont-ils installé vert ?
Elle se remémorait la salle d'eau du pavillon auburn de la rue de Montreuil où des oeuvres néo-rétiniennes d'une valeur inestimable étaient exposées.
Dans la salle d'eau, le lavabo était d'un vert ironique. Un amateur d'art en avait conçu une rage volcanique qui l'avait amené à scier les canalisations du pavillon auburn.
Plusieurs personnes avaient pris l'eau. Et aujourd'hui cette femme éprise d'art se rendait compte du chaos de sa vie.
Elle sortit brusquement, sans savoir où aller. Or, dans la rue désertique, un chien s'approchait d'elle.
Lui aussi semblait perdu, comme revenu d'une expérience esthétique insurmontable.
- Qu'il est mignon, ce toutou ! Je crois que je vais l'adopter et reconstruire ma vie avec comme compagnie ce merveilleux chien aux yeux si expressifs, aux attitudes si émouvantes. Viens, mon bichon ! Viens ici !
Le diabolique clébard s'approcha sournoisement. Mais au moment même où il s'apprêtait à déféquer sur l'escarpin droit de sa bienfaitrice, des éclats de plomb lui criblèrent le dos.
- Foutre ! Foutre ! Foutre !
Le commissaire aux assurances était ruiné. Les dédommagements dûs aux victimes de cet animal maléfiques impliquaient déjà le remboursement de millions de paires de chaussures.
Il fallait arrêter ça. L'homme tirait autant que le fusil le permettait. Mais rien n'y fit.
Le toutou, imperturbable, commit un bel étron sur le pied (malencontreusement criblé de plomb) de l'amatrice d'art qui n'en pouvait mais.
Puis, le chien repartit en empruntant une ruelle étroite.

[Jérôme nyctalo]

Au bout de l'étroite ruelle, le chien tourna à droite, puis à gauche, et accéléra l'allure en entendant la sirène d'une voiture de police se rapprocher. Après avoir multiplié tours et détours, il déboucha dans la rue "Lucie Dité-Toutdesamère", pénétra dans un immeuble dont la porte d'entrée béait comme une invite, et alla s'asseoir devant l'huis fermé d'un appartement.

- Ouah! Ouah! fit-il aussitôt.

L'homme occupé à repeindre son lavabo en rose-panthère posa son pinceau et alla ouvrir en maugréant.

- Dis-donc, le chien, tu as sans doute retrouvé ma trace grâce à ton flair, mais sache que tu n'es pas le bienvenu!

- Ouah! Ouah! répéta le chien en balançant joyeusement sa queue.

- Qui c'est qu'a laissé rentrer un clébard dans l'immeuble?, cria une voix. Les clébards, y sont interdits dans l'immeuble!

- Bon, entre, fit l'homme. Je te file une petite part de gratin de courgettes à la saucisse, puis tu files en silence!

- Flash spécial! fit la petite radio posée sur le réfrigérateur: Le déféqueur fou a encore frappé! Après s'être attaqué à quelques clients d'une sandwicherie, dont un policier, puis au premier ministre, le sérial crotteur canin s'en est pris à l'escarpin droit d'une dame, provoquant ainsi une effroyable fusillade...

- Perso, je pense que le premier ministre, hé ben il l'avait pas volé, mais étronner l'escarpin d'une belle dame, ceci n'est pas convenable! fit l'homme avec conviction.

- ...et selon les milieux motorisés qui patrouillent dans les rues de la ville, l'enquête pourrait s'orienter vers un certain Nestor Brumeux, bien connu de...

- Merde! s'exclama l'homme en fermant brutalement le poste de radio. Je crois que je vais devoir changer de pseudo! et toi, je vais te repeindre en rose-panthère, et tu vas essayer d'apprendre à miauler, au moins!...

- Wouf! Wouf! fit le chien en déposant un étron sur la pantoufle droite de l'homme.

- Ah! non! je ne vais certainement pas te servir de crotteching-ball! Tu vas aller t'entraîner ailleurs! gronda l'homme en lui flanquant un coup de pied.

- Kaï! Kaï! couina le chien, surpris.

- Puis, ne la ramène pas! C'est haïkaï! haïkaï! qu'on dit!

[serioscal]

"Une jolie femme, encore assez jeune donc désirable..."

C'est d'une élégance :-/


"Je savais que la dame était lesbienne et qu'elle ne couchait jamais"

Avec des filles, peut-être ?

"Mais tous les mâles normaux, ils la respectaient car question du désir qu'elle savait inspirer aux mâles "

Euh ?

[itans]

"Une jolie femme, encore assez jeune donc désirable..."

C'est d'une élégance :-/


"Je savais que la dame était lesbienne et qu'elle ne couchait jamais"

Avec des filles, peut-être ?

"Mais tous les mâles normaux, ils la respectaient car question du désir qu'elle savait inspirer aux mâles "

Euh ?

Mâle :Individu appartenant au sexe fécondant.

 

Le mâle n'aime pas la lesbienne. Il ne pourra jamais la posséder...

L'homme en revanche peut en aimer le fantasme.

Mais le meilleur ami de la lesbienne, c'est l'homo...

[AURE]

"Une jolie femme, encore assez jeune donc désirable..."

C'est d'une élégance :-/


"Je savais que la dame était lesbienne et qu'elle ne couchait jamais"

Avec des filles, peut-être ?

"Mais tous les mâles normaux, ils la respectaient car question du désir qu'elle savait inspirer aux mâles "

Euh ?

 

Merci ! J'hallucine !

[serioscal]

Visiblement, tu n'as pas envie de le rendre communicatif.

[serioscal]

Tu confonds femme et robinet. Ce n'est pas très logique.

[Jérôme nyctalo]

On revient toujours à cela:

 

 

Votre humour est d'une finesse incomparable, et, avec de la persévérance, vous arriverez sans doute à la cheville ( mais faîtes gaffe au chien!) de Victorugros, ce qui n'est pas peu rire.

Cependant, faîtes attention: votre phrase, certes courte, ne contient quasiment aucune faute! Du coup, votre propos y perd son habituel caractère exotique...

Pensez à maintenir un certain niveau d'incorrection et de confusion dans votre discours, afin que l'on ne vous prenne pas bientôt pour un vulgaire Jean-Pierre Quirou, faux russe mais vrai troll, habitant encore chez ses parents, et qui peut, pendant que maman et papa se tapent les courses et la bouffe, passer son temps à harceler tranquillement quelques membres de ce site.

[AURE]

Rahhh toujours cette incompréhension

Nous sommes vraiment de mondes différents

je n'ai rien d'un ange, cela  ne vous en déplaise

Oui!J'aime ce désir que me provoque une dame

 

Moi non plus je ne suis pas une ange, j'aime écrire des poèmes câlins et sensuels (KennyDimitri va me foudroyer) respectueux de l'homme et de moi même, sans poncifs, clichés et avec délices... Fais moi rêver !

On revient toujours à cela:

 

 

TU reviens toujours à cela !

[AURE]

"TU l'as dit"

sinon TES trucs c'est fanné et surparfumé, pas besoin de foudroyer, cela se degrade tout seul avec la puanteur.

 

[Jérôme nyctalo]

si tu as besoin juste d'un bouc émissaire il est plutôt là-haut sur des photos, mais agneau est sans 3ème joue.

 

Ah! Monsieur Quirou, vous tenez, semble-t-il, peu compte de nos conseils, pourtant fort judicieux,  nom de dieu!

Vous nous en voyez fort courroucés! Cependant, en notre immense compassion pour votre triste condition de troll, nous allons vous en prodiguer deux autres:

1-  Comme le disait Saint Germain des Prêtres dans son "Avertissement à la bonne du curé" ( II- 2- verset 67548 ): " Jamais ne diras tu à qui n'a pas avec toi les cochons gardé, ou les boucs d'ailleurs, petite effrontée!"

2- Pensez quand-même à renouveler un petit peu votre stock de références, quelque peu clinquantes, empruntées à la "métaphysico-théologo-cosmolonigologie".

 

Et nous terminerons sur un cordial encouragement: Allez, Jean-Pierre, encore un effort pour être un véritable trollutionnaire!

[serioscal]

Or je dis : l'homme, et en général tout être raisonnable, existe comme fin en soi, et non pas simplement comme moyen dont telle ou telle volonté puisse user à son gré; dans toutes ses actions, aussi bien dans celles qui le concernent lui-même que dans celles qui concernent dautres êtres raisonnables, il doit toujours être considéré en même temps comme fin. Tous les objets des inclinations nont qu'une valeur conditionnelle; car, si les inclinations et les besoins qui en dérivent n'existaient pas, leur objet serait sans valeur. Mais les inclinations mêmes, comme sources du besoin, ont si peu une valeur absolue qui leur donne le droit d'êtres désirées pour elles-mêmes, que, bien plutôt, en être pleinement affranchi doit être le souhait universel de tout être raisonnable. Ainsi la valeur de tous les objet à acquérir par notre action est toujours conditionnelle. Les êtres dont l'existence dépend, à vrai dire, non pas de notre volonté, mais de la nature, n'ont cependant, quand ce sont des êtres dépourvus de raison, qu'une valeur relative, celle de moyens, et voilà pourquoi on les nomme des choses; au contraire, les êtres raisonnables sont appelés des personnes, parce que leur nature les désigne déjà comme des fins en soi, c'est-à-dire comme quelque chose qui ne peut pas être employé simplement comme moyen, quelque chose qui par suite limite d'autant toute faculté dagir comme bon nous semble (et qui est un objet de respect). Ce ne sont donc pas là des fins simplement subjectives, dont l'existence, comme effet de notre action, à une valeur pour nous : ce sont des fins objectives, cest-à-dire des choses dont l'existence est une fin soi-même, et même une fin telle qu'elle ne peut être remplacée par aucune autre, au service de laquelle les fins objectives devraient se mettre, simplement comme moyens. Sans cela, en effet, on ne pourrait trouver jamais rien qui eût une valeur absolue. Mais si toute valeur était conditionnelle, et par suite contingente, il serait complètement impossible de trouver pour la raison un principe pratique suprême.
Si donc il doit y avoir un principe pratique suprême, et au regard de la volonté humaine un impératif catégorique, il faut qu'il soit tel que, par la représentation de ce qui, étant une fin en soi, est nécessairement une fin pour tout homme, il constitue un principe objectif de la volonté, que par conséquent il puisse servir de loi pratique universelle. Voici le fondement de ce principe : la nature raisonnable existe comme fin en soi.


Kant. Fondements de la métaphysique des moeurs.

[serioscal]

je n'ai rien d'un ange

Moi non plus je ne suis pas une ange

Moi, je suis l'archange du sérialisme \o/

[Jérôme nyctalo]

Moi, je suis l'archange du sérialisme \o/

 

Mais alors, Jean-PierreMeVoila  serait un troll étr'ange, un étroll en quelque sorte, résidu malheureux du déféqueur fou sur la godasse de quelques-uns?!

Ah! Monsieur Quirou, réagissez! Vous ne pouvez vous contenter d'être ainsi un plouc émissaire!

[serioscal]

Aidons-le à se cultiver.

[AURE]

:-)

[Jérôme nyctalo]

) Nabaot ne rend pas la cultivation de la vigne de ses Pères à Achab même malgré l'insinuation mortelle de Jezabel la maudite... (les personnages de la Bible, sinon les 2 derniers sur les photos la-haut avec leur "agri-culture").

 

"Cultivation", il faut en convenir, contribue à donner la dimension exotique au propos, mais "malgré l'insinuation...maudite" est en parfait décalage avec vos habituels procédés langagiers. Tentez plutôt:" malgré que  l'insignoble mortadelle de Jezamoch dans la marmite..."

De plus, laissez donc Nabe Marc-Edouard tranquille, il n'a rien à voir avec Achab! Cherchez plutôt du côté de Melville...

Quant à votre matériel iconographique, pensez à le renouveler un peu, il commence à dater.

Allez! Allez! Jean-PierreMeVoila, au travail! Troll, ce n'est pas une occupation de tout repos!

[serioscal]

Diable.

Et Gengis Khan ?

[serioscal]

Ah non ! Jules César est un type cool.
Il n'a pas besoin de justification.
Ni toi ni moi ne sommes Cléopâtre.

[serioscal]

Le commerçant s'inquiétait pour sa grand-mère.
- Fichtre ! A 99 ans, elle ne connaît pas la recette du canard aux cornichons ! Et moi, je vends du canard et des cornichons à la pelle. Ma mère m'aurait-elle adopté ?
Non loin de là, un train arrivait en gare. Des dizaines de passagers descendaient, amers à cause de leur journée de travail et aigris à cause de leur situation domestique.
- Diable ! Nous avons tous du canard et des cornichons dans le frigo et nous n'avons pas de recette pour combiner ces ingrédients !
Une jeune femme entra dans la boutique et s'exclama :
- Votre grand-mère n'est autre que mon grand-père ! Comment voulez-vous qu'il vous livre une recette pareille ? C'est un boucher, pas un traiteur !
Et le commerçant sceptique de rétorquer :
- Certes ! Mais le réfrigérateur... C'est votre ami ou votre amant ?

[serioscal]

Aidons-le à se cultiver.

[AURE]

) Cela veut dire ca-125 en norme..., mais tes nausées sans raison par rapport à moi m'inquiètent tout de même...

 

Je réagis toujours comme ça, quand je suis écoeurée par certains comportements haineux.

Alors garde ta pseudo inquiétude. 

[serioscal]

[serioscal]

Il doit y en avoir une dizaine... La numérotation est arbitraire. Merci du compliment !

Tu vas perdre des points avec Kloklov le sadique.

[serioscal]

Passive Dim :-)

[serioscal]