Allitération en P suite
Paisible paysan de ce pays sans la province, le grand Paris
Je me permets des petits plaisirs qui sont permanents et pervers
Pour panacher, poéter, publier et aussi proclamer de la poésie
Dans des palabres permanentes bavardes et parfois plurielles
Quelque part dans des sites de poésie, de lieux tous perdus
Ceux qui perdurent et vous promettent de possibles publications
Mais pourquoi donc ? Pour qui donc ? Et par quels possibles?
Tout le passé est oublié, dans un passage bref, ce présent qui passe
Mais je dis! Y aura-t-il encore des poèmes et des poètes parmi nous
Dans un futur potentiel et qui vient et aussi plusieurs parutions ?
Y- a-t-il déjà plus de publications en poésie que dans le passé
Pour un éditeur, la poésie et les poètes du présent sont impubliables
Alors! Il nous reste encore ici, de ces passages pourris et improbables
Pour des temps qui sont à paraître et des paysages pour renaître
Je sais des poètes du passé qui reparaitrons encore et toujours
Le passages du temps qui passe sur nous et qui outre-passe le passé
Mais pour les poètes de notre présent, il n'y a pas de possibles éditions
J'ignore tout, pour les paisibles forêts, et tous les papiers qui seront permis
Tous les recueils de poésie, ils sont de pervers usages des plantes de la nature
Alors je me dis aussi oublions les recueils, le papier ! Et sauvons la forêt