Face à La Londe
Voilà la nuit, où tout s'estompe
Qui près de nous le soir s'allonge
Emportant au royaume des songes,
Or, cheveux blonds, parfum d'été
Le ciel de mer face à La Londe
Alliage d’azur, d'argent, d'acier,
Le bruit de l'eau, des vague, de l'onde
Délaissent là nos regards lassés
Le sable tremble, les rouleaux grondent,
Tout se fond dans l’obscurité
Tout s'alanguit et puis s'effondre
Sans nul égard aux jours passés