Immonde ce temps
Où il pleure abjurant
Quand le dément
De la guerre détruit
Le corps des enfants
Ces pauvres innocents
Il laisse crier son sentiment
A cette croix, a ces Dieux du défi
Qui laissent l’innocent dans l’oubli
Crever d’indifférence accomplie
Il aiguise son serment
D’être négligent
Au sermon des récitants
De tous ces biens pensants
Qui voient l’homme autrement
Qu’homme passant
Pour retourner en son néant
Humain sois sage
Pense à ton passage
Sur cette terre d'usage
Il n’y a nul présage
Qu’aucun mage
N’aura en otage
Pour prédire cette image
Que le néant nage
Oui ! Nage
Au dessus du ciel moutonneux
Les Trous noirs servent l’orage vicieux
Qui Fourbira ses sévices calamiteux
Alors ce néant sera notre ancrage radieux
Jusqu’à la fin des âges séditieux
Le destin décompte le du de son adage
Et le nom des Dieux du mirage
Souffrira aux rivages
De cette pensée sauvage.
Elle n’est que sarcasme
Mais réalité du sage
Quand il ose tenir langage
Pour vous éviter dommage
Qui ne vous préservera du naufrage
Tant bien vous ancrerez hommages
En ces prières de badinage
Elles ne vous seront d’aucun avantage
Seul l’humain doit sauver
Cette terre en son passage
Sa vie, la vie
Celle qui se doit d'être respectée
Tant bien l’autre tente de la saccager
En vérité ! on se doit de couper
sans animosité mais couper
Toutes les branches pourries
Qui gangrène le bon de l'humanité
On se doit cultiver une humanité libérée
Car seule morale de notre nature
se doit être garante du bon fait
afin de nous préserver dans la sécurité
du temps qu'au jour de notre naissance
Notre nature innocente nous a affecté
☼ƑƇ