La roche forte parfois se brise sans éclat. Naturellement.
Tour à tour, le corps crie puis se mue en silence.
Je te pleure. Oui je te pleure encore.
J’en veux à la vie de m’avoir privé de tes lumières.
Et mes prières ridicules, je me revois dans le noir.
Les enchainer seul face au mur, seul face au vide.
Je t’implore. Oui je t’implore encore.
Des mots d’or, de la gourmandise qui me va bien.
Je dis merci à la vie de m’avoir apporté ce repère.
Je ne réalise pas. Je ne saisis pas l’esprit.
Chuchotements humides dans un couloir.
Douce quiétude de tes montagnes.
Et le courage qui ne te quitte pas.
Comme Aloïs, la tête tu as perdu.
Comme moi, la peur tu as appris à vaincre.
Je t’aime depuis le début de mon histoire.
Toi la plus belle des femmes de ce monde.
Toi le sommet que l’on rêve d’atteindre,
A chaque seconde,
Devant ton regard.