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Vie rêvée

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2 réponses à ce sujet

#1 clemouchka

clemouchka

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  • Une phrase ::Tout est Amour, Dieu est pur Amour.

Posté 04 décembre 2016 - 01:57

Ma vie a commencé dans le ventre de ma mère enceinte, de mon petit être. Vie naissance... naissances biologiques. Oui, la mienne, celle de tous les êtres qualifiés de Humain, vivent dans cette fermentation lacrymale, verticalité, des ventres objets...des yeux naître.. . Liquide du couchant. Des entrailles, de ma Créatrice, ma sculptrice. Auteure de mon petit moi, éclaté, symétrique.. . Présence dans cette gestation polaire. Uranium des danses. La complexion, de mon moi, identique à personne : intégrité primale. A genoux, devant «les gynécologies», bébé absence. Eclosions d'un petit d'homme en pleine fusion, sous des chastetés irrationnelles, de mes futurs peaux larmes, les soleils génies, les platanes en lierre des fragmentations. Des petites germinations, de bénédiction athée... .Je suis né un jour roux. Un Temps ou les passions, les énergies consubstantielles, les avortements de neiges, ou les images de notre monde est comme un crucifix géographique, géométrie. Des absences de Pensées linéarisées, dans des subductions causales, des entendements cunéiformes, des papillons abstraits, atteintes des tempes olfactives, des puits de bois, égrenés de lavandes cimetières, de chose idéelle, des abstractions de tâches de viandes, accrochées à des abeilles chrysalides, des eaux de la pensée ou il n'existe plus beaucoup de Penseur éclatant les sphères subliminales, des prières d'yeux contemplatifs, des liquides électriques, des pansements ou roucoulent leurs lèvres été, des ensemencements de trouées doigts, des algues otologiques, des lunules souriants, sur les pores concentriques, des fusains diabétiques, de larvées d'insectes aux cris plastiques... .

Je m'appelle Clément. Un de mes premiers souvenirs de l'enfance, fut dans une rue, ou je me situais dans les bras d'une poussette vouée à porter cette petite peau morphologique, d'un petit d'homme, les rires remplis, des orbites stellaires, des optiques de la pénétration de mon regard, dévisageant le Monsieur, oui, mon oncle, le frère à mon papa, qui me jetait des étincelles bienveillantes, des beautés d'affections,/ en cœur thétique... .

Un autre souvenir était les premiers pas que je fis pour escalader le petit escalier de la maison, oui, j'étais fier de moi, et même un petit peu gêné, comme si je violais une virgule, de la littéralité de ma petite existence, se transformant en échec déperdition, des mon innocence d'avoir relevé une évolution tacite, discriminée, à mes veines polymorphes, mes besoins de me situer, dans une symétrie des avoirs, d'avoir créer une tacheture mentale, de mes délébiles, de mécanisme ou l'introversion, de mon immatérialité chose, était en fait un calcul dos, un aveuglement, une cécité magnétisée, par les inventions de me voir péché arbre... ou, disons le différemment, de m'être extrait d'une contemplation éthérée, ou je suis le volcan d'une signature écologique, d'une vérité sur ma famille endormie et aseptisée de découvrir, leur frère, leur fils, éclaté en image consomptible, en égologie de mes représentations logistiques, de mes veines polychromes, de mes succédanés Verbes dissidences, ô visages des cygnes blonds, ô foudres d'allumettes lumineuse éclairant les conductions des filtres d'un destin léché, d'un miroir profondeur des imagos divisés, en lèpres pâmées, de déductibilités les paysages volubilis cris.. .

Les premiers souvenirs que j'ai de mes relations avec les enfants, c'était à la maternelle. Je me rappelle qu'à la petite section, nous découpions chez nous, des photos dont la thématique était ordonnée par l'institutrice. Nous collions, déchiquetions les images appropriées, et les présentions, à la classe, devant les écoliers en devenir de travail préparatoire, là ou, au CP , les apprentissages pour la lecture et l'écriture. Je me rappelle avoir partagé un moment drôle, rigolo, agréable, avec une écolière ou nous nous exclamions, nous indignions par des esclaffements de bouches criant « c'est dégueulasse, c'est dégueulasse », comme si, nous jouissions de nous sentir dépersonnaliser, dans une théâtralité de rire dont seul elle et moi-même comprenions le mécanisme de se sentir en immersion de plaisir, de jeu, de s'esclaffer d'être comme de l'antimatière, comme une élévation transversale, d'être et de jouer le rôle de l'esthétique dialectique, de se sentir aliéné, de rire comme une symétrie fonctionnelle, ou nous dansions sur les eczémas de confitures, d'une Réalité abstraite, ou c'était comme un murmure de continence... .

Toujours à la maternelle, nous avions comme exercice, de donner la date et l'heure écrite sur des petits cartons en bois. En soi, je n'étais pas un écolier différent. A cette époque, dans mon quartier, chez papa et maman, j'avais un copain avec qui je jouais au football, et, une surimpression logique, un regard structurel, d'ou je me souvins que mon copain tirait des tirs au but, avec moi comme gardien.. .

Lorsque je rentrais au CP, j'éprouvais des difficultés d'apprentissages. Maman et Papa avaient pris comme décision de me donner rendez vous chez une orthophoniste, période de ma vie a-structurelle dans mon équilibre mental, ou, je n'ai aucun souvenir.. . Le soir, mes parents m'exhortaient à lire des romans de mon niveau cognitif. Mais je n'aimais pas la lecture.... .Un chapitre, je pouvais lire, au minimum. . Mais c'était difficile. Avant d'aller à l'école, je m'habituais à lire, à m'exercer à cette activité des lourdeurs pensées, des livres aux interjections, de flammes grammairiennes, qui, il faut bien le dire, me résistait fortement. Comme des alcools puissants, des degrés phénoménaux, de vins non-quantifiables, des implosions de lettres, de lèpres mentales, de durcissement des oreilles aux clystères, de la Langue difficilement opérationnelle, des convergences thétiques, aux lavements des préciosités de l'Art qu'est cette belle aventure sentant bon les végétaux endormis, les corporelles idéations, de Littérature... . Cette dernière est avant tout chiffre, car elle palpe les soubassements, les profondeurs, les divinisations d'une Humanité tirées d'elles même par la création des rapports entre être, ou la communication est avant tout une essence, par catégorie de schèmes de la Pensée nourrie, par une projection avalée incontinence, un déploiement, d''être, une concrétion « de plantes » athée, mathématique, un corps temporel...

Lorsque j'étais enfant, je pratiquais des activités sportives. Principalement le football et la natation. La natation je la pratiquais, les mercredi matin.

L'eau était agréable, les entraînements plutôt sympathiques... Des objets étaient balancés dans l'eau, et nous nous entraînions à les récupérer. C'était une manière ludique, comme un jeu, nous apprenant à faire de l'apnée. Des longueurs de bassin à la nage nous déferlions, à connaître une résistance, une endurance, et à bien utiliser notre corps dans des situation de sirènes quantiques !

Au retour, je regardais des dessins animés à la TV. Le mercredi après-midi, je participais à des tournois de football. Le ventre gargouillais et les petits pincements au cœur et au ventre stigmatisaient mes désirs vengeresses de briller comme un feu miraculeux, comme une fusée ou le Phoenix transparence, les lumières végétales, en pluies rêvées d'épouser les étoiles flagellées, dans mes crampons cynégétiques, oui, c'est la chasse aux ballons enceintes de lui-même... .Cette petite boule imaginaire, cette petite pute irradie les ivresses, les folies, les passions houleuses en guerre de jeunes enfants travestit en guerriers cosmiques, désireux de transcender les approches, les attouchements avec le ballon catharsis.. .

Papa aimait beaucoup me voir jouer. Il était fier de son fils. J'étais dans la deuxième division. La première il y avait un garçon aux cheveux blonds et longs, torsadés et bouclés. C'était le meilleur de l'école de football. J'éprouvais une grande admiration, pour lui. Il me fascinait. Je rêvais d'être ami avec lui. Les entraînements se déroulaient le soir. La nuit était profonde, c'était quelque peu étrange, surréaliste, de jouer au football en pleine météo vespérale. Une certaine atmosphère, ambiance, comme des yeux larvés, d'enfantements équilatéraux, comme une dimension pasteurisée, filtrée, et vide à la fois, un transfert, un déplacement, une chimie noire et troublante, morcelée, de besoin de procréer les frustrations généalogiques, des hivers en rivières plaies, en vaseuse sempiternelle imaginaire, des muqueuses douceur d'être vide d'avec le paysage épousé, avec les terrains de football en palpation d'onirisme, ployant ses bras protecteurs et provocateur, car, le stade, c'est lui le roi, c'est lui le centre. C'est l'arbre de Vérité. La vérité des gamins que nous étions nous animait d'un sentiment d'émulation, de pi =3,14 !

Les anniversaires, étaient un pôle magnétiseur, un canal, un ventre conditionnel, un plaisir partagé, avec mes petits camarades.. . Quelle bonheur ce fut quant j'entendais la sonnerie de la maison. Mes amis de petit âge étaient là, présents, rayonnants. Les beaux cadeaux dans leur bras m'étant destinés, ce fut des extases rêvées, des palpitations d'amour, des tractations soleils, des campagnes amoureuses de mousses astrales, des moustaches de bébés ego. Ce fut du bonheur, surtout quant les gâteaux amoncelaient leurs vignes épousés, leurs chairs arithmétiques, leurs Beautés d'âmes en innocence, en phosphorescence de dégoulinant cœur géométrique, des rapports d'enfants dans leur Réalité, leur dimension d'être, de se sentir grand, de s'aimer en ronronnement absentéiste.... homologie des langues.. ..

Les rapports que j'eus avec les fille, étaient sporadiques. Ils étaient imprégnés de sentiment amoureux, de craintes, de désir, d'interrogation. Dans mon quartier, il y avait une jeune fille dont j'étais amoureux. Je repense à la façon dont je lui manifestais mon amour... Je faisais le tour de son quartier en vélo et elle me regardais par sa fenêtre. Quant je la voyais, un sentiment de fierté amoureuse me temporisais et m'électrifiais, me rendis chagrin de musicalité moléculaire, ou cette molécule étaient comme un ensorcellement crée par une mysticité d'esclave, de mendiant de son cœur, en flagellé, en commotion à pléthore. Mais, elle ne m'aimait pas. Ce qu'elle pensait de moi, se trouvait juste dans mes yeux... C'est le seul endroit qu'elle trouvait attirant.... mon œil! Que pourrai-je donc faire pour renverser la vapeur, les radiologies de mon cœur, de mes atteintes attristées, les biologies des cheveux images.. . Peut être ne plus avoir de corps, être juste un gros œil multidimensionnel, espérons que je ne soit pas borgne, ni aveuglé, par mon œil, être un œil souffle, un préservatif enfantement. ? Une ménopause cassée, stellaire, insecte des mécréances, ô tristesse... !

Lorsque je la voyais, dans le quartier, je devenais fébrile, comme si mon cerveau cristallisait ses moments d'intenses ivresses morphologie du cœur... .

Je l'aimais. A l'école,je vécus antérieurement, à ce chagrin d'amour, un plaisir échangé entre une fillette de ma classe et moi-même. Nous étions main dans la main, comme des peuplements de muse baignés dans les nénuphars réactionnels, les vibrisses clairvoyances. On se regardait, yeux dans les yeux, les doigts frétillants, de logique pâmée, en réciprocité concentrique, de deux affects mélangés et nageant dans les profondeurs torpides, des émanations de baisers animiste.

Malheureusement, je n'ai plus aucune trace de cet amour platonique.. . Et, un jour, à la récréation, mon ancienne chérie, avait embrassé sur la joue devant moi, un autre garçon... Je ne compris pas le lien causal, l'enchaînement des événements entre notre moment d'intimité et cette agression du cœur, de l'esprit, de l'oubli.

Une ou deux autres filles, plus tard, toujours à l'école, avaient mon amour pour elle. Il m'était arrivé de déposer un baiser, mais j'avais peur du contact lorsque les tentatives de baisers de la fille aimée devenait trop expressif, trop chlorophylle!

D'un point de vue, scolaire, je n'étais pas particulièrement brillant. J'étais un gosse moyennement doué.

Mes copains de quartiers et moi nous amusions beaucoup à faire du sport... . Le football, le tennis de table, la pétanque, d'autres jeux de ballons, des jeux vidéos, mais aussi des rires, des engueulades, des méchancetés, des naissances d'amours entre filles et garçons, les rivalités, les échanges complices, les coups bas, les joies, les exaltations, oui, tout participait, tout concourait, à nourrir, alimenter notre bonheur.

Papa nous emmenait jouer au tennis de table, car il était membre du club, et cela fructifiait, alimentait, notre bien être.

Parfois, il y avait des pleurs, des papillons à l'absinthe géographique, des contondants évasements, de gorge émulsionnées, en perles sacrilèges.

Les fomentations de l'existence sont comme des déchirements substantialistes, des mensonges à la chair vécue en drogues sociologiques, en pain et raisin sacrifié de brûlure, des phalènes linguistiques, des araignées de sida extensibles, en excréments Nouménaux, des défrichements de plaies euthanasiés, en vitalistes boursouflures des baisers neiges....

Souvent, je me visualise clochard, éclopé, mendiant, comme si l'ivresse d'être en dehors de tout consensus bactériologiques, de toutes déontologies de porphyres, de toutes structuration préétablie pour vivre comme un fœtus abstrait... . Les SDF célestes, chez qui il y a des dons de clairvoyance, de prescience, je pense que ce magma d'étincelles de divinisation, est du à une implosion concentrationnaire, de l'estime de soi... Comme si les échappements, les débordements de vision, sont des inextinguibles prisons, de se représenter leur corps, leur âme, leur vie, comme des atteintes aux mycoses originelles, des défragmentations extériorisées, en raisins abstraits, de vivre en OVNI , des invisibles grimaces de feux en miettes de médicaments biologisés, par des incomplétudes physiques, des Verbes.

Papa et moi allions souvent cueillir des champignons, dans les forêts, les grandes prairies fleuries et de bouses de vaches dithyrambiques (ahah).

Il était un fin connaisseur de ce végétal, et appréciait vivement la chair de ce petit être incurvé dansant, sur les moussons, la terre, les feuilles, les êtres peuplant la forêt, les noirceurs télépathes, des invisibles cristallisations, des esprits luminescents, des bouches trouées, de parfums de la tapisserie des circonflexes chaleurs automnales, des guérisons d'agressions minéralisées, en chatoiements de fragrance pleutres et feux des bougies de l'astre concupiscent, des feuillées en trouées, de cécités rires.

Les vacances d'été furent des moments radieux, dans ma jeunesse, mon enfance. La mer, était la, pérenne et agréable destination, la ou mes 2 sœurs, mes parents et moi allions nous laver le cerveau pour des instants de plénitude, après l'année scolaire écoulée... .

Mon papa tomba malade dès mon entrée au collège, ou plutôt, l'année de la 6 ème. Il souffrit d'un cancer qui allait bouleverser ma famille.

Papa était un homme profondément bon, doux, pacifiste, gentil, bienveillant. Chose étrange, mais combien salvatrice, sa lente agonie ne me froissa pas outre mesure. Je l'aimais profondément. Sa fin de vie je la vécu plutôt bien... . C'est comme si l'amour que je lui portais dépassait de très loin cette dure réalité sombre, morbide, angoissante, terrible, qu'est la mort. Je portais ainsi notre amour de père et fils respectif, dans des embranchements de perles consubstantielles, dont la douceur et la puissance grammaticales, ou, si l'on veux, l'authenticité reflétait un amour d'abandon de soi, recueilli l'un dans l'autre, dans un diamant respiratoire.. .

Après la mort de papa, au collège, je vis une fille qui enflamma mon petit cœur de pirate polichinelle . Elle était très jolie. Elle m'attira par des attitudes d'allumeuses, chercha à ce qu'on sorte ensemble, mais j'étais trop timide, trop effacé, dans mes cellules troublées par cette petit femme à l'approche cavalière. Il n'y eu pas de suite.

Lors d'une lecture de Picsou, une révélation tomba du ciel. C'était Van Dame que je vis en photo, l'écriture musculaire pleine d'encre de ce biceps transitif, ou il était en pleine représentation du boxer conquérant, de l'athlète transitionnel … .

C'était un coup de foudre. L'année suivante, je suivis des entraînements de boxe, et je devenais un espoir. Je progressais très vite.

Lors de vacance à la mer, je vécus un traumatisme qui allait transmuer ma vie en grossissement d'anorexie quantique, d'une anorexie non pas physique, mais de larmes, de mélancolies diluviennes, des excroissances, de mes atomisations, de subduction de grappes, des chevelures abstraites, en clair, je vécus une clairvoyance en moi, symbolisée, incarnée, par une représentation de moi qui allait se plastifier en gangrène thermique, cristalline, atavisme des miroirs transcendants, ou la réalisation, la transformation de ma lexicale enveloppe existentielle, mon moi profond, allait découvrir une cataracte, aux gouffres de déperdition traumatisée, par une rencontre qui allait réinventer mon moi, brisé, fourbu, anéanti, liquidé.... Pourquoi ?

La raison est que toute ma substance cérébrale, organique, allait se liquéfier, dans une déliquescence, par abandon d'une vie, d'une existence, qui avait comme découpé, décelé, ouvert, la Vérité d'un petit être transformiste, vaincu, dans une Vacuité de non-retour, comme je n'existais plus pour moi-même, mais à travers une autre, une fille, en qui je me projetais corps et âme dans un amour dont la dimension éprouvée ne trouvait concrétion, réalisation, Vérité, que comme si je devenais cette fille, moi-même étant avalé dans une réalité de l'être humain ou plus rien, sinon,le désir, je dirais, le désir de mourir, pour quelqu'un, l'amour n'étant pas partagé... .Aujourd'hui, mon cœur est à prendre.



#2 Victorugueux

Victorugueux

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Posté 04 décembre 2016 - 10:19

J'aime mieux mais si tu pouvais aérer un peu

bref faire des paragraphes plus espacés

pour que ça soit plus lisible



#3 M. de Saint-Michel

M. de Saint-Michel

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  • Une phrase ::Je suis quelqu'un pour qui poésie et respiration ne font qu'un.

Posté 04 décembre 2016 - 01:27

Le rêve fait partie de toute vie...



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