Sous un soleil, bloc de masse, je ploie et reçois l'impact en pleine face,
sur mon front s'étoilent les gouttes baveuses de sueur, échec et traces,
tout tournoie aux images qu'il faut boire...
tout tremble et grésille au grill de chaleur qui flamboie…
Eté éternel, tu libères tous les sucs de la terre jusqu'à l'extrême.
Eté en enfer, tu cherches les ombres aux rêves d'hier,
et l'eau à la source au parcours des lendemain incertains...qui, sur les pas, se referment.