Rêve la terre, rêve le ciel du regard des enfants à la fois étonné et confiant,
au désir fou de vouloir tout engloutir cul sec,
aux paysages de voyages nomades où l'on est partout chez soi,
et qui dansent à la guitare et au violon des tempos fous et fêtes de tziganes,
à la beauté pétrie de doigts cherchant l'ouïe,
et qui se répand jusque dans le sang insoumis,
chant libéré des poumons de la voix à la quête profonde…
du souffle et de la joie.