Lumière tamisée d'un crépuscule discret à l'horizon de fin fond au soleil bascule,
d'un point à l'autre du champ de vision aux formes à l'ordre muet du ténu,
légèreté d'un soir d'été fumant la poursuite de vent et de brume…
jusqu'à la victoire de la nuit noire à la guipure d'astres mémoire et de crues de lunes.
Nuit, vaste tissu à l'enveloppé d'une terre rêvant force sans morsures,
au fabuleux de frontières fières de plénières ouvertures…
fasciculant les cœurs transpirant la sueur d'un amour aux sillons sûrs, lus et butent et luttent
aux cahiers dévêtus de lecture, au contraire des coutumes,
aux costumes d'Adam et d'Eve révoltés de nu…
sculptures éternelles au répété sans fin d'une Nature à l'évoqué charnu.