En un seul cri harmonie de tous les pardons, j'en appelle aux citoyens du monde,
j'en appelle à la concorde du règne de paix au cœur de sonde,
qu'elle pétale, fragile de beauté, en chaque cœur claquant de réponses,
et qu'elle poursuive l'onde tranquille du fleuve, passant lancinant du silence profond,
à l'éternité d'une sagesse, invite à l'écoute d'une eau qui, en chaque vie, trace ses sillons.
En un seul cri harmonie de toutes les facondes, j'en alerte aux citoyens du monde,
j'en alerte à la concorde du règne de l'été au climat chaud d'or en filons,
qu'il se dévoile aux tamis de la bonté filant le creux des ombres,
et qu'il s'amasse dans les banques du cœur, généreux d'un brillant éclat de compassion,
à la vérité d'une folie, invite à la lumière statuaire de santons, crèche du soir de réconciliation.