J'aime ton vent, j'aime ta pluie, j'aime ton sourire aussi...qui claque
les horreurs du monde, les vendeurs de drames et d'armes,
alors reprends ton souffle aux larmes dans tes yeux opaques,
et réapprends à lire la vie du bout de tes doigts sur mon visage.
Tes doigts qui savent toucher l'air aux rêves fuyants, revenants,
vagues du profond au pied des plages du plaisir, luttant
le beau de la vie, berceuse de l'oubli, aux pages qui de ta bouche, si bien s'échappent.
Rien de plus, rien de plus...