Rien de plus difficile qu'un sourire franc, aux flancs de la vie galopante, montée à crue, à la rescousse.
Rien de plus difficile qu'un amour inconsolé à la veillée sérénité de flambée alentours.
Rien de plus difficile qu'un poème inspiré au puits des mots aux pensées papillonnées des carrefours.
Rien de plus difficile qu'une main tendue au fort du réconfort des hautes fûtées au fumet de rosée de velours.
Rien de plus difficile qu'une clé à la portée humble de simplicité d'une mélodie tanguant à l'infini le regain
des amours.
Rien de plus difficile qu'une aubade pour grands enfants à la magie agréable au pur cristallin des troubadours.
Rien de plus difficile que des rimes au poème de ta vie disant les siècles d'un ailleurs à ton avenir sans doutes.
Rien de plus difficile qu'un cierge au fond d'une église, veillant ton âme à la flamme de la foi,
aux réponses fortes et foule d'un fruit lourd.