Cadenas, que l'on cadenasse la bouche de celle que l'on touche, roule et saoule de paroles lourdes à l'alcool louche; celle que l'on atteint, cible idéale au pâle paraître, dans l'intégrité qui la ceint.
Cadenas, que l'on cadenasse aussi le regard échangé avec celui que l'on repère, pénètre et perce sous le masque; celui qui n'est qu'une blafarde réplique d'un hasard de haine dressant des murs hautains de répugne, triste sire surgi des larmes d'un brouillard au condensé déformant les images du miroir.