15 réponses à ce sujet

[patricia moles]

Soif  de vivre

 

Je voudrais courir à perdre haleine,

Dans les forêts et dans les prés.

J’aimerais rouler dans l’herbe

Des collines vallonnées…

 

M’envoler dans le grand ciel,

Comme un oiseau égaré.

Disparaître sous le soleil,

Dans un éclat de lumière.

 

Je voudrais faire mon nid,

Dans les feuillages d’une forêt ;

Et y passer toutes les nuits,

Sous la lune de Juillet.

 

J’ai grand besoin de liberté,

De pouvoir grand respirer ;

Et sentir dans ma poitrine,

Mon cœur  sauvage battre à folie.

 

 

 

[Jped]

Un grand souffle panthéiste anime tout le poème. Un grand élan sauvage.

[patricia moles]

Bonsoir Jped,

Je suis contente que vous ayez aimé mon poème...
Merci pour votre présence, pour votre commentaire toujours juste, comme d'habitude...
Amicalement,
Patricia.

[decker]

Bonsoir Patricia

Oui, tous envie de grand air et de liberté dans ce contexte pesant.
Besoin de mettre un terme à nos privations.

Heureux de vous lire

[patricia moles]

Bonjour Decker,
Oui, faut-il être aveugle pour ne pas le voir ? Je n'avais pas fait la relation entre le poème et ce que nous vivons en ce moment...
Merci de votre commentaire,
Amitié
Patricia.

[M. de Saint-Michel]

En ces temps de liberté confinée (aux sens propre et figuré), un poème bienvenu!

[Leclère michel]

Merci pour ces mots qui doivent résonné aux oreilles  de beaucoup :Sortir, forêt, lumière .

 

J'ai la chance de ne pas trop y être concerné, bien que je n'ai pu y travailler pendant un mois.

Mais c'est repartie et je vous envoie quelques boutons de camélia roses ainsi  que quelque fleurs d'azalée qui commence à pointées leur nez.

 

Mille excuses mais je n'ai pas de photos, ce sera pour une autre fois.

 

Amicalement  Michel

[patricia moles]

Merci pour ces mots qui doivent résonné aux oreilles  de beaucoup :Sortir, forêt, lumière .
 
J'ai la chance de ne pas trop y être concerné, bien que je n'ai pu y travailler pendant un mois.
Mais c'est repartie et je vous envoie quelques boutons de camélia roses ainsi  que quelque fleurs d'azalée qui commence à pointées leur nez.
 
Mille excuses mais je n'ai pas de photos, ce sera pour une autre fois.
 
Amicalement  Michel

Merci Michel pour ces fleurs,... c'est comme si je les avais !... j'ai un camélia dans le jardin, mais il ne veut pas donner une seule fleur !
Merci pour ton commentaire,
Amicalement,
Patricia.

En ces temps de liberté confinée (aux sens propre et figuré), un poème bienvenu!

Merci m de Saint-Michel pour votre commentaire, le jour bien venu lui aussi...
Amicalement,
Patricia.

[Emrys]

J'aime ces 'je voudrais'

et ce conditionnel 'j'aimerais'

et la deuxième strophe qui donne des ailes à vos désirs

 

Amitiés à vous

[patricia moles]

Bonsoir Emrys,

Merci de votre commentaire. J'ai écrit ce poème dans un souffle. Peut-être ceci explique-t-il cela ?

Amicalement,
Patricia.

[William Valant]

Comme l'herbe sauvage perce le goudron, la liberté est une soif, le grand air sans nuages une aspiration...
Nous sommes appelés à vivre, la lumiére est en nous.
WV l'éclair

[patricia moles]

Bonsoir William,
J'aime bien « comme l'herbe sauvage perce le goudron...»
D'accord avec toi,
Amitié,
Patricia.

[Esterina]

Une belle bouffée d'oxygène quand l'asphyxie menace, chacun s'y est reconnu, Patricia !

[patricia moles]

Bonjour Esrerina,

Merci pour ton petit mot !
Moi aussi,je le ressens comme ça...
On devrais voir une petite aération dans les jours qui viennent, et surtout à Noël...
Amicalement,
Patricia.

[jmm]

très belle "soif de vivre" ! ... irradie le lecteur ! Merci Patricia !

[patricia moles]

Bonsoir Jmm,

Merci pour votre message...
Je suis touchée...

Amicalement,
Patricia.